Puisqu’on dit « avant qu’il ait mangé », il est tentant de dire, de la même façon, « après qu’il ait mangé » au lieu de « après qu’il a mangé ». À la différence de « avant que », et quoi que l’on pense souvent, « après que » doit être suivi d’un verbe à l’ indicatif et non au subjonctif :
- Il fait toujours une sieste après qu’il a mangé.
- Mon grand-père faisait toujours une sieste après qu’il avait mangé.
- Après qu’il eut mangé quelques petits enfants, l’ogre fit une sieste.
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Quand utiliser le subjonctif après que ?
Lorsque une phrase contient au moins une subordonnée non elliptique, donc deux verbes, il existe un rapport entre les temps et les modes des verbes (voir aussi concordance des temps ). Les modes » conditionnel, indicatif, subjonctif » dépendent très souvent du sens du verbe de la principale, parfois des noms, des adjectifs ou expressions qui indiquent un mode particulier (doute, affirmation, condition, etc.).
- On classe les propositions subordonnées d’après les fonctions qu’elles remplissent dans la phrase.
- On distingue ainsi des subordonnées : sujet, attribut, en apposition, COD, COI, compléments circonstanciels, compléments d’agent, complément de nom ou de pronom, compléments d’adjectifs.
- Que » introduit une subordonnée sujet,
Son verbe se met : – à l’ indicatif : après les verbes impersonnels ‘ou de forme impersonnelle) construits positivement et exprimant la certitude ou une forte vraisemblance ( Il est certain que vous êtes.il est sûr que vous êtes.il est évident que vous êtes.).
Au subjonctif : après les verbes impersonnels (ou de forme impersonnelle) construits positivement exprimant le doute, la seule possibilité, l’obligation ( Il est nécessaire que vous soyez.Il est possible que vous soyez.Il est urgent que vous soyez.Il faut que vous soyez.). – au conditionnel : après des verbes impersonnels (ou de forme impersonnelle) construits positivement marquant une vraisemblance ou une certitude dépendant d’une condition – énoncée ou non ( Il est évident que vous seriez.
Est-il sûr que vous seriez. D’où vient que les hommes voudraient.). « Que » introduit une subordonnée attribut, Son verbe se met : – à l’ indicatif : quand le fait est réel ( L’essentiel est que nous sommes à l’abri. Le plus étrange est que nous sommes seuls ).
– au subjonctif : quand le fait est simplement envisagé ou souhaité ( Son envie est que tu fasses ce spectacle. Le plus important est que nous gagnions ce soir ). – au conditionnel : quand le fait dépend d’une condition – exprimée ou non ( La vérité est que tu aurais intérêt à le faire ). « Que » introduit une subordonnée COD ou COI,
Son verbe se met : – à l’ indicatif : si le verbe de la principale exprime une opinion, une déclaration, une perception et quand le fait est considéré dans sa réalité ( J’affirme qu’une hirondelle ne fait pas le printemps. Je crois que tu ne dors pas.
- Il dit qu’il craint de te voir ).
- Au subjonctif : après un verbe principal exprimant la volonté, le doute ( Il veut que tu croies en lui.
- Il demandait que tu cédasses ), après un verbe principal exprimant un fait simplement envisagé ou souhaité ( Je ne crois pas que l’amour soit suffisant.
- Si vous pensez que l’amour fasse le bonheur vous vous trompez ), lorsque la subordonnée est placée en tête de phrase ( Que l’amour fasse le bonheur, je ne le pense pas).
– au conditionnel : quand le fait dépend d’une condition – exprimée ou non ( Je crois qu’il ferait bien d’y aller. Je suis sûr que les hommes seraient plus heureux s’ils aimaient davantage la vie ). Les subordonnées circonstancielles introduites par » que » obéissent aux mêmes règles : indicatif si le fait est considéré dans sa réalité, subjonctif si le fait est une simple possibilité ou mis en doute, conditionnel si le fait dépend d’une condition – exprimée ou non.
Pourquoi l’indicatif après après que ?
Après que Le 6 octobre 2011 À la différence de avant que, qui implique une notion d’éventualité, après que, marquant que l’on considère le fait comme accompli, introduit une subordonnée dont le verbe doit être mis à l’indicatif. Je rentrerai après que la nuit sera tombée.
Comment choisir entre l’indicatif et subjonctif ?
Le mode indicatif exprime des actions réalisées ou dont on est certain qu’elles se réaliseront ; le mode subjonctif exprime des actions éventuelles ou dont on n’est pas certain qu’elles se réaliseront.
Quel temps après pour que ?
Après « pour que », le verbe est au subjonctif : il faut écrire « pour qu’il le revoie » et non « pour qu’il le revoit ». Phrase correcte.
Pourquoi subjonctif après bien que ?
Bien que + subjonctif – Après la locution « bien que », le verbe est toujours au subjonctif. La raison ? Cette locution introduit une proposition concessive (on exprime une concession, on nuance ses propos, on tempère un jugement) Exemple : Il vous serrera (indicatif) la main, bien que vous soyez (subjonctif) son adversaire.
Quelle est la classe grammaticale de après que ?
Définition de après Votre navigateur ne prend pas en charge audio. préposition, adverbe et nom masculin – préposition (postériorité dans le temps) (opposé à avant ) Le printemps vient après l’hiver. Ils président l’un après l’autre. Après ce que j’ai fait pour lui, il pourrait être plus aimable ! Déjeunons, après quoi nous nous mettrons en route.
Après que (+ indicatif) locution conjonctive Je l’ai reconnu après qu’il eut parlé. (bien que critiqué, l’emploi du subjonctif est fréquent) Après (+ infinitif passé). Après avoir dîné, nous sommes sortis. Après coup locution adverbiale : après l’évènement. ➙ a posteriori, Je n’ai compris qu’après coup.
(postériorité dans l’espace) Tournez à gauche après le pont. Derrière (qqn qui se déplace). Après vous, je vous en prie, formule de politesse. Le chien aboie après les passants. ➙ contre, Courir après qqn, pour le rejoindre, le rattraper. Courir après son argent.
(mouvement de recherche) Soupirer après qqch., qqn. Être après qqn, le suivre partout, le harceler. ➙ importuner, Elle s’acharne après lui. (subordination dans un ordre, une hiérarchie) Après le lieutenant vient le sous-lieutenant. ➙ sous, Après tout locution adverbiale : après avoir tout considéré, envisagé.
Après tout, cela m’est égal. ➙ en définitive, au fond, D’après locution prépositive : à l’imitation de. ➙ selon, suivant, Peindre d’après nature. En se référant à. D’après les journaux, il se serait enfui. D’après moi, adverbe Vingt ans après. ➙ plus tard,
Quand utiliser l’indicatif ?
Utilisation de l’indicatif – Le mode indicatif s’utilise partout où on peut exprimer le réel. Il n’y a pas de place au doute ou à l’incertitude. Pour cela, on préfère utiliser le conditionnel ou le subjonctif. On a quatre temps simples à l’indicatif (le présent, l’imparfait, le passé simple et le futur simple) et quatre temps composés (passé composé, plus-que-parfait, le passé antérieur et le futur antérieur) qui permettent d’exprimer les actions présentes, les actions passées ou les actions à venir.
L’indicatif est le temps qui permet de saisir les faits, les actes, les opinions ou les pensées dans leur réalisation. Il s’agit de loin du mode le plus utilisé dans les besoins de la conversation courante. Il est également le mode des phrases négatives et interrogatives. Même dans une proposition subordonnée après « que », on peut retrouver l’indicatif s’il s’agit d’une action certaine.
Dès qu’on introduit le doute ou la notion de probabilité, on utilise le subjonctif. L’exemple suivant illustre ceci : il est probable qu’il viendra. (indicatif) il est possible qu’il vienne. (subjonctif) On remarquera cependant que dans la langue parlée, on utilise de plus en plus le subjonctif après le « après que » ce qui n’est pas forcément juste puisque l’action est déjà terminée donc réelle.
Quel temps utiliser après sans que ?
sans que + subjonctif Répondu
- Mais les premières lueurs du jour glissèrent entre les franges du bas de ses rideaux, sans qu’il fût entré chez elle.
- (il = son époux)
- Bonjour,
- Pouvez-vous m’éclairer sur l’usage du subjonctif dans cette phrase s’il vous plait ?
Meilleure réponse Bonjour, Quelques réflexions sur le subjonctif et son emploi. Rappelons que le subjonctif ne comporte que deux formes simples : le présent et l’imparfait, doublées par les formes composées, passé composé (appelé subjonctif passé) et plus-que-parfait.
L’ imparfait et le plus-que-parfait du subjonctif sont des formes qui n’appartiennent plus au français courant, mais sont réservées à la langue littéraire de facture classique. Le français courant ne dispose plus, en pratique, que de deux formes : le subjonctif présent opposé au subjonctif passé. Je voulais qu’il parte avant qu’elle n’arrive.
Le présent du subjonctif évoque ici le procès* dans son déroulement(aspect non accompli ) Je voulais qu’il soit parti avant qu’elle n’arrive Le subjonctif passé, dans ce cas, présente le fait comme accompli, De cette valeur d’ accompli peut découler, une aptitude à évoquer l’antériorité chronologique,
Il fallait qu’elle l’ ait vu avant son départ. Lorsque le subjonctif est employé dans une subordonnée après une principale au passé ou au conditionnel, la règle classique exclut l’emploi des subjonctifs présent et passé, leur substituant obligatoirement, avec la même opposition entre aspect non accompli et accompli, les subjonctif imparfait et plus-que-parfait.
L’imparfait rend ainsi compte d’un fait contemporain ou postérieur au fait principal, et présente le procès dans son déroulement: Je souhaitais qu’il vînt. Le plus-que-parfait indique que l’action est accomplie, et donc antérieure au fait principal. Je regrettais qu’il eût oublié notre rendez-vous.
- Les exemples précédents mettent en valeur la concordance des temps lorsque le verbe de la principale est à un temps du passé.
- Résumons :
- I ─ On emploie l’imparfait du subjonctif pour marquer la simultanéité ou la postériorité :
- Je voulais qu’elle écrivît cette lettre sur-le-champ.
- II ─ On emploie le plus-que-parfait du subjonctif pour marquer l’antériorité :
- J’avais voulu qu’elle eût écrit cette lettre avant mon départ.
- *Le procès c’est ce qui se passe : le procès comprend la notion d’état et d’action.
Ah ! la concordance des temps Si la principale est à un temps du passé de l’indicatif, la subordonnée au subjonctif sera : – à l’ imparfait du subjonctif si le fait est simultané ou postérieur à l’action principale (Nous avons voulu qu’il cédât immédiatement.
Il voulait que nous finissions le lendemain); – au plus-que-parfait du subjonctif si le fait est antérieur ( Il voulait que tu eusses écrit avant son départ ).* Ton exemple me semble entrer dans ce champ : Mais les premières lueurs du jour glissèrent (passé simple, indicatif) entre les franges du bas de ses rideaux, sans qu’il fût entré (plus-que parfait, subjonctif) chez elle.
= Avant que le jour paraisse, le mari n’était pas encore venu. Cet emploi est très littéraire, ce pourquoi, il paraît parfois étrange. * Source : Cordial en ligne Bonjour, La locution conjonctive sans que introduit une subordonnée complément circonstanciel de manière.
- Les dents lui poussèrent sans qu ‘il pleurât une seule fois.
- On emploie aussi le subjonctif après que ne Vous ne sauriez lui dire deux mots qu ‘il ne vous contredise.
- Remarques :
- I ─Après sans que ─ qui implique déjà une négation ─ on ne met pas ne :
- Il y a des choses dans la vie qui ne servent à rien, qu’on pourrait supprimer sans que j’en sois atteint.
- II─ Le verbe de la subordonnée circonstancielle se met au subjonctif après les locutions conjonctives :
Bien que, encore que, malgré que, quoique, pour que, quelque que, si,que, où que, quel que, qui que, quoi que. Quelque mauvais que soit le temps je sortirai. Quoi que tu dises je sortirai. Ne pas confondre quoi que avec quoique, Quoi que tu dises je sortirai, quoique le temps soit exécrable.
Tout comme bien que, sans que est toujours suivi du subjonctif. Mettez la phrase au présent et vous en serez convaincu : « Mais les premières lueurs du jour glissent sans qu’il soit entré chez elle. » Bonjour, C’est la conjonction « sans que » qui exige ici un l’emploi du subjonctif. Pour préciser un peu vos idées, voici de l’emploi de ce mode.
Vous y trouverez une liste de conjonctions qui le commandent. Et quelques autres emplois que vous aurez certainement l’occasion d’approfondir.
- Bonjour à tous,
- Merci pour vos réponses que j’ai lues attentivement.
- Quelque chose me gêne encore malgré tout, c’est au niveau de la concordance des temps à mon avis.
Ici : Passé simple, suivi d’un plus-que-parfait du subjonctif, Savez-vous si cette concordance de temps est admise grammaticalement ?
- J’ai l’impression que l’usage du passé simple implique une incohérence vis-à-vis de la capacité de la proposition au subjonctif à pouvoir faire une concession à la principale.
- Reformulation : Le fait que l’action « du jour qui entre dans le salon » soit ancrée dans le temps, à un moment précis, ne permet pas de douter qu’il puisse en être autrement ; et du coup, l’usage du subjonctif (qui exprime une réalité nuancée) me semble impropre ; auquel cas il ne faudrait pas utiliser « sans que » non plus.
- Qu’en pensez-vous ?
Je comprends dans vos deux réponses que la combinaison « passé simple indicatif » + sans que + « subjonctif plus-que-parfait ». est admise, dans un usage littéraire, et même : littéraire classique. Ce choix permet de marquer l’antériorité de la non-venue du mari par rapport à l’apparition du jour.
- La phrase me semble toujours étrange, pour les raisons que j’ai expliquées.
- Le subjonctif est très intéressant à étudier en tout cas.
- Bonne journée
: sans que + subjonctif
Pourquoi utiliser le subjonctif présent ?
Après certains verbes – Le subjonctif s’emploie dans la subordonnée si le verbe de la principale exprime le doute, l’improbabilité, la volonté, le désir, la défense, la nécessité, la possibilité, l’impossibilité ou un sentiment.
- Je doute que vous arriviez à temps.
- Il est peu probable que je puisse y aller.
- Je veux que vous écoutiez,
- J’attends que vous répondiez,
aimer que apprécier que attendre que consentir à ce que défendre que désirer que douter que être content que être désolé que être étonné que être fâché que être furieux que être heureux que être ravi que être surpris que être triste que exiger que il convient que il est bon que il est dommage que il est douteux que il est essentiel que il est important que il est impossible que il est improbable que il est juste que il est nécessaire que il est obligatoire que il est peu probable que il est rare que il est possible que il est préférable que il est utile que il est regrettable que il est temps que il semble que il faut que il ne faut pas que interdire que il suffit que il vaut mieux que recommander que ordonner que proposer que s’opposer à ce que refuser que s’attendre à ce que vouloir que souhaiter que tenir à ce que
Pourquoi utiliser le présent du subjonctif ?
Le subjonctif présent (ou le présent du subjonctif) est un temps de verbe simple qui fait partie du mode subjonctif. Il sert à exprimer une action incertaine, non réalisée au moment de l’énonciation.
Comment savoir si c’est du subjonctif ?
Subjonctif ou indicatif – cours > > test de français n°25454 : Subjonctif ou indicatif – cours
Moi, que je fasse cet exercice ! I l est exclu que je le fasse. -> Subjonctif Si tu me le demandes, je ferai cet exercice -> Indicatif parce que c’est sûr je vais le faire à un moment donné Je pense qu’il est venu -> indicatif car j’en suis certaine Je ne pense pas qu’il soit venu -> subjonctif car ce n’est pas sûr Je doute qu’il ait réussi -> subjonctif car incertain Il faut donc bien réfléchir au sens des mots pour savoir quel mode utiliser : indicatif ou subjonctif J’espère que tu comprends. indicatif car espérer = considérer ce que l’on désire comme devant se réaliser, on est donc devant une certitude Je voudrais que tu comprennes. – subjonctif car je ne suis pas sûre que cela soit le cas. Je préfère que tu m’attendes. – subjonctif car il y a un doute sur la décision que tu vas prendre. J’imagine que tu m’attends. -indicatif car je me représente que tu attends, je ne mets pas ce fait en doute. Les verbes : dire, affirmer, prévoir, penser, croire, espérer, être certain, imaginer, être probable, utilisés à la forme affirmative ont une valeur de vérité: on utilise donc l’indicatif dans la proposition qui suit. Les verbes : vouloir, ordonner, dire (quand il a une valeur d’ordre), défendre, douter, attendre, préférer, souhaiter, regretter, être satisfait, être possible, ont une valeur de vérité incertaine ; on emploie donc le subjonctif dans la proposition qui les suit. Le subjonctif dans une proposition indépendante : Il peut avoir une valeur impérative ( l’impératif français ne comportant pas de 3 ème personne) Qu’il vienne ! Il peut exprimer le souhait. Que Dieu le veuille ! Il peut avoir une valeur exclamative Moi, que j’y aille ! Dans les 3 cas, l’idée que ce que je dis se réalise est mise en doute ou rejetée. Le subjonctif dans une proposition subordonnée : La valeur du verbe est déterminée par le contexte de la proposition principale •- subordonnée complétive introduite par : que, à ce que, de ce que, On emploie le subjonctif si la valeur de vérité de ce qui est dit est mise en doute sinon on emploie l’indicatif. •- subordonnée complément circonstanciel exprimant le temps : on emploie le subjonctif avec « avant que » « jusqu’à ce que », sinon on emploie l’indicatif J’attendrai jusqu’à ce qu’il ait terminé. Subjonctif Je rentrerai avant que tu ne reviennes. Subjonctif Je partirai dès que tu auras terminé. Indicatif Il ira quand elle sera arrivée. Indicatif exprimant la cause : on emploie le subjonctif quand la cause est rejetée ou fait l’objet d’une alternative sinon on emploie l’indicatif Il a réussi parce qu’il a travaillé. : indicatif : la cause a une valeur de vérité Il a réussi non qu’il ait travaillé mais il a eu de la chance. : subjonctif : La cause est rejetée Il a réussi soit qu’il soit chanceux soit qu’il ait travaillé. subjonctif : a lternative indiquant une restriction, une opposition : on emploie le subjonctif. La restriction inverse la relation de cause attendue. Bien que Pierre soit venu, je suis sortie. Subjonctif car la venue de Pierre aurait dû me faire rester. C’est le décalage entre ce qui est attendu et ce qui se passe qui entraîne l’emploi du subjonctif. Certaines locutions formées avec que sont toujours suivies du subjonctif : à condition que, afin que, à moins que, à supposer que, au lieu que, bien que, d’aussi loin que, de crainte que, de façon que, de manière que, de peur que, du plus loin que, en admettant que, en attendant que, encore que, en sorte que, jusqu’à ce que, moyennant que, peu s’en est fallu que, pour autant que, pour peu que, pour que, pourvu que, quel que (et quelque. que ), qui que, quoique (et quoi que ), avant que, sans que, si bien que, si peu que, si tant est que, soit que, soit que, supposé que, trop. pour que (et malgré que: cette dernière est à éviter car impropre sauf lorsque cette locution est suivie d »avoir’ -> malgré qu’il ait, Néanmoins elle est employée de plus en plus régulièrement et doit être citée. Elle est obligatoirement suivie du subjonctif). D’autres locutions sont suivies soit du subjonctif, soit de l’indicatif, selon le sens de la phrase. Nous vous enverrons ces documents de sorte que vous les receviez à temps. : Le subjonctif exprime une réalité ici incertaine dans la mesure où elle n’est pas encore accomplie. Les appareils n’ont pas été installés correctement, de sorte qu’ils sont inutilisables. : L ‘indicatif exprime une réalité, une certitude : les appareils sont inutilisables. •- subordonnée relative On emploie le subjonctif si la proposition relative indique que l’on fait une sélection dans un nombre limité de possibilités. Je connais des élèves qui sont attentifs. J’aimerais des élèves qui soient attentifs. Je cherche une armoire qui ait trois portes, J’ai vu une armoire qui a trois portes. (notez que l’on retrouve aussi l’idée de doute sur la réalisation de ce que je dis) |
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Fin de l’exercice de français « Subjonctif ou indicatif – cours »Un exercice de français gratuit pour apprendre le français ou se perfectionner. Publicité : : Subjonctif ou indicatif – cours
Est-ce que c’est possible que subjonctif ?
Il est possible que + subjonctif : Il est possible qu’il vienne demain.
Quel temps avec que ?
Les expression de temps avec que : indicatif ou subjonctif ? | Frantastique Améliorez votre niveau de grammaire et orthographe : plus besoin de correcteur orthographique avec Frantastique. Gratuit et sans engagement. Rappel : De nombreuses expressions avec que ( quoique, bien que, encore que, afin que, etc) sont généralement suivies du subjonctif.
Je suis contente de te voir bien que tu sois en retard. Je te le dis afin que tu t’en souviennes, Cependant, après les expressions de temps avec que ( après que, pendant que, alors que, tandis que, etc), on utilise l’indicatif. Elle a téléphoné pendant que j’ étais sortie, Après que tu es parti, je me suis ennuyé.
Il va faire la vaisselle une fois qu’il aura fini de faire le ménage. Attention aux exceptions ! Avant que, jusqu’à ce que, en attendant que sont suivis du subjonctif, Je vais lui présenter mes excuses avant qu’il ne me fasse des reproches. J’attendrai jusqu’à ce que tu sois parti.
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Quel temps employer après avant que ?
Êtes-vous allergique au subjonctif associé à « après que » ? Cette chronique vous propose une cure de désensibilisation Publié le 18/02/2017 à 11:40 Temps de lecture: 6 min Avant que, après que : mode d’emploi Une des plus fréquentes allergies grammaticales est celle provoquée par l’emploi du mode subjonctif dans une subordonnée introduite par après que, Et pour cause ! Les grammairiens sont unanimes sur ce point : si avant que demande le subjonctif (avant qu’il parte), après que doit être suivi de l’indicatif (après qu’il est parti).
Toute fondée que soit l’intolérance à l’emploi du subjonctif avec après que, cet usage est à ce point répandu aujourd’hui qu’une cure de désensibilisation s’impose. D’autant que d’autres emplois contribuent à brouiller les différences entre l’indicatif (mode du réel) et le subjonctif (mode du possible), ce qui invite, sinon au laxisme, au moins à l’indulgence.
Reparlons-en après que vous aurez lu – ou que vous ayez lu – cette chronique