Mon Dieu! mon Dieu! pourquoi m’as-tu abandonné, et t’éloignes-tu sans me secourir, sans écouter mes plaintes? Mon Dieu!
Pourquoi Jésus a dit père pourquoi tu abandonné ?
« Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? » On pourrait mettre « nous » à la place de « tu », mais Jésus a dit « tu ». Ces paroles du psaume 21 qu’il reprend à son compte et qu’il cite sur la croix avant de mourir, nous avons envie ou besoin de les dire aujourd’hui. Le Seigneur nous a-t-il abandonné ? Pourquoi malgré toutes ces prières n’intervient-il pas ? Pourquoi laisse-t-il le virus se propager de façon aussi sournoise ? Ces questions bousculent notre foi au milieu du drame que nous traversons.
- En disant cette prière (puisque ça commence par « mon Dieu »), Jésus réunit en lui, Dieu et l’homme abandonné.
- Il rejoint son Père (il l’appelle) et il rejoint le souffrant abandonné.
- Il fait corps avec l’Un (son Père) et l’autre (chacun de nous).
- C’est là que se joue notre relation et notre confiance en Dieu.
Il se fait porte-parole de l’abandonné (qu’il est lui-même) et porte- Parole de Dieu (qu’Il est Lui-même, comme Verbe fait chair). Notre religion dit Dieu à l’intérieur de la souffrance humaine. Quand l’Evangile dit « il faut que le Fils de l’homme meurt », il ne dit pas une obligation, une contrainte sacrificielle, il dit une nécessité spirituelle de rédemption, de salut.
Le premier drame de la vie humaine est qu’elle a une fin terrestre : la mort, injustice majeure. Et le deuxième drame, c’est qu’à l’intérieur même de notre condition mortelle, nous sommes capables de produire de la mort physique (le malheur) et spirituelle (le péché). Et Jésus est Dieu. Il est le Fils de Dieu qui vient prendre sur lui toute cette condition humaine dramatique.
Célébration du 30 juillet 2023 — Ivan Carluer — Discerner un problème psy ou spi ! #2
Pour la transformer, la ressaisir de l’intérieur. C’est comme Fils qu’il dit « pourquoi m’as-tu abandonné ? ». Pour que nous autres, fils, nous soyons associés à cet abandon, inclus dans son abandon à Lui. Il saisit notre condition filiale dans la sienne.
- Par sa mort de Fils.
- Jésus entre dans notre mort filiale pour retisser en nous nos filiations brisées : entre nous et son Père (le manque de foi), entre nous et nos proches (le manque de charité et de pardon) entre nous et la création (le désir de toute-puissance).
- Jésus vient rétablir l’intégrité et l’intégralité de notre condition filiale.
Depuis la rupture de cette condition filiale (que nous appelons le péché originel, le malheur originel), il y a en chacun de nous, un fils qui est au tombeau. Et le Fils donne sa vie pour vaincre cette mort du fils en nous. Il le fait de deux manières : pour le temps de l’éternité par sa Résurrection, il nous redonne accès à la vie éternelle.
Et pour le temps de notre combat sur la terre, par le don et la force de son Esprit. Cette capacité de vie spirituelle est posée en nous depuis l’origine : nous l’appelons dans le récit de la Genèse « le souffle de vie », un souffle spécialement donné aux hommes (que les animaux et le monde végétal n’ont pas).
Cette « ruah » c’est de pouvoir prier Dieu, crier vers Dieu, chercher Dieu, l’implorer ou le louer selon les circonstances. Seul l’homme prie : Et Jésus se fait prière pour nous donner dans cette situation d’abandon, la vie d’en Haut, la force d’en Haut.
- Cette grâce, nous le voyons bien, ne supprime pas notre nature : nous gardons nos fragilités physiques, biologiques et spirituelles et leurs errances.
- Mais toutes ces limites et leurs maux n’ont plus leur emprise de mort et de désespérance sur nous.
- La vie du Fils va poser en nous une vie plus forte que la vie mortelle ; « Dieu nous a choisis dans le Christ.
Il nous a prédestinés à être pour Lui, des fils adoptifs par Jésus, le Christ » (Eph 1, 4-5). Le Père vient greffer en nous la vie filiale de son Fils. L’Esprit qui unit le Fils et le Père vient en nous pour nous « rendre fils ». Pour nous affilier à la Vie de Dieu.
- Pour que notre vie humaine soit resplendissante de sa Vie divine en nous.
- C’est pourquoi nous recevons cette semaine Sainte comme un don.
- Pas comme une explication de nos malheurs, mais comme un signe, le signe de croix : « j’accomplis ce qui reste à souffrir des épreuves du Christ dans ma propre chair, pour son corps qui est l’Eglise » (Col 1,24) Parole abyssale qui nous dit que nous vivons ce temps de souffrance dans la communion de Celui qui a tout donné et tout sauvé.
Nous n’ajoutons pas de la souffrance à sa souffrance, nous croyons que ce que nous vivons est une participation, un prolongement dans notre chair de son signe à Lui. La croix du Christ se prolonge jusqu’au temps de son retour. Nous la vivons avec Lui. Ou mieux, il la vit avec nous.
Comment expliquer le psaume 23 ?
De l’avis de Volz, le psaume représente, avec la succession rapide de ses images changeantes, et sous la forme d’un code allégorique, «d’une certaine façon la vie de l’homme pieux de son enfance jusqu’à sa vieillesse», représentation dans laquelle l’accent serait particulièrement mis sur «la richesse de la vie en Dieu»
Quels sont les sept paroles de Jésus sur la croix ?
Textes — Les textes suivants sont tirés de la Traduction œcuménique de la Bible :
- «Père, pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font» ( Lc 23,34 ), prononcée immédiatement après son crucifiement entre deux malfaiteurs ( bon Larron et mauvais Larron ).
- «En vérité, je te le dis, aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis» ( Lc 23,43 ), adressée à un des deux malfaiteurs, en réponse à sa demande «souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton royaume».
- «Femme, voici ton fils», adressés à sa mère Marie ; et à Jean : «Voici ta mère» ( Jean 19,26–27 ).
- «Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ?» ( Mc 15,34 et Mt 27,46 ) crié « à voix forte » en araméen
- «J’ai soif» ( Jn 19,28 ) prononcée « pour que l’Écriture soit accomplie jusqu’au bout », commente l’évangéliste. Jésus cite, selon l’évangéliste, le psaume 69:22 : «ils m’ont donné du poison à manger, et pour boire, de l’eau vinaigrée lorsque j’avais soif».
- «Tout est achevé» ( Jn 19,30 ) prononcée après qu’il eut bu de cette boisson.
- Jésus poussa un grand cri : «Père, entre tes mains je remets mon esprit» ( Lc 23,46 ). Et sur ces mots, il mourut.
Paroles de Jésus en croix | Matthieu | Marc | Luc | Jean | Psaumes |
---|---|---|---|---|---|
Père, pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font. | 23,34 | ||||
En vérité, je te le dis, aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis. | 23,43 | ||||
Femme, voici ton fils. et Voici ta mère. | 19,26–27 | ||||
Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? | 27,46 | 15,34 | 22,2 | ||
J’ai soif. | 19,28 | ||||
Tout est accompli. | 19,30 | ||||
Père, entre tes mains je remets mon esprit. | 23,46 | 31,6 |
Pourquoi lire le Psaume 22 ?
Le Psaume 22 est la lamentation individuelle par excellence. Il exprime un sens d’être abandonné comparable seulement avec des textes poignants tels que Lamentations 5,20 et Ésaïe 49,14. Il commence avec la question « pourquoi? » jaillissant du cœur même du tourment de la personne souffrante.
Comment Jésus appelle-t-il Dieu ?
Les utilisations essentielles du nom de Dieu le Père dans le Nouveau Testament sont Theos (θεός le terme grec pour Dieu), Kyrios (c’est-à-dire Seigneur en grec) et Patēr (πατήρ c’est-à-dire Père en grec). Le mot araméen ‘Abba’ (אבא), signifiant ‘Père’ est utilisé par Jésus dans Marc 14:36 et apparaît également dans Romains 8:15 et Galates 4:6.
Pourquoi Jésus est-il appelé Dieu ?
Les premiers chrétiens soutenaient que Jésus était un être humain qui a été fait Dieu — un dieu — un être divin. Plus tard, ils ont fini par dire que Jésus était né de l’union de Dieu et d’un mortel parce que le Saint-Esprit est venu sur Marie et c’est ainsi qu’elle a conçu Jésus, donc Jésus avait littéralement Dieu pour père.
Quel psaume pour débloquer une situation difficile ?
Prière de délivrance : Psaume 143 Qu’est-ce que l’homme, pour que tu le connaisses, Seigneur, le fils d’un homme, pour que tu comptes avec lui? L’homme est semblable à un souffle, ses jours sont une ombre qui passe.
Pourquoi prier le Psaume 24 ?
Le psaume 24 présente ces attributs divins dans un contexte liturgique ou Israël reconnaît la souveraineté divine dans l’acte de la création et dans le combat. Le peuple adore le Seigneur sur sa montagne sainte. Et vers ce lieu saint convergent les pèlerins à la rencontre de Dieu, résidant dans le sanctuaire.
Quel est le but du Psaume 119 ?
Interprétations — Tableau de Hammerhof décrivant une femme priant en s’aidant du psaume 119, XXII : aufer a me obprobrium et contemptum quia testimonia tua exquisivi, Le caractère acrostiche du psaume 119 a donné lieu à diverses interprétations. Certains Pères chrétiens, parmi lesquels Ambroise de Milan, ont considéré que les lettres hébraïques étaient comme une sorte de titre et que leur signification symbolique juive indiquerait le thème général de la strophe.
- Eusèbe de Césarée associait également les lettres hébraïques à leur sens symbolique et, suivant en cela une tradition juive, les rassemblait en de petites sentences didactiques,
- Jérôme de Stridon reprend à son compte cette interprétation,
- Origène a exploité la notion d’alphabet en la croisant avec le thème du respect de la Loi, thème central dans le psaume 119 : selon lui, de la même manière que l’alphabet est le commencement de l’apprentissage humain, le respect de la Loi est le point de départ de tout enseignement religieux.
Origène rapproche en outre le nombre des lettres hébraïques du nombre des livres canoniques de l’ Ancien Testament : les 22 lettres sont une introduction au savoir comme les 22 livres inspirés sont une introduction à la connaissance de Dieu, Une tradition de l’ Église orthodoxe dit que c’est à l’aide de ce psaume que le roi David enseigna l’alphabet à son fils Salomon,
- Hilaire de Poitiers fut probablement le premier auteur latin à avoir donné un commentaire exhaustif du psaume 119 (avant que ne s’y intéressent Ambroise de Milan et Augustin d’Hippone ).
- Il reprend en partie les interprétations d’Origène, notamment sur les lettres de l’alphabet comme symbole des étapes qui mènent progressivement à la connaissance de Dieu.
Hilaire commente le nombre de strophes mais aussi le nombre de versets de chaque strophe : pour lui, le chiffre huit est signe de sacralité et de perfection, notamment parce que c’est au huitième jour que le nouveau-né reçoit le signe de la circoncision,
Quelle est la citation la plus célèbre de Jésus ?
« Tu dois aimer le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit. ‘ Ceci est le premier et le plus grand commandement. Une seconde est tout aussi importante : « Aime ton prochain comme toi-même. ‘ Toute la loi et toutes les exigences des prophètes sont basées sur ces deux commandements.
Quel est le 7ème dernier mot de Jésus ?
‘ Père, entre tes mains je remets mon esprit.’ – Le Septième Mot (Réunion)
Quel est la dernière parole de Jésus sur la croix ?
« Père, je remets mon esprit entre tes mains » (Luc 23:46). Le Fils du Tout-puissant a donné volontairement sa vie.
Pourquoi lire le psaume 69 ?
Dans ce Psaume, il les invite à découvrir une prédiction de la mort et de la résurrection du Christ. Cependant, le Ps 69 est bien plus qu’un « texte preuve » dont les détails rentreraient plus ou moins bien dans le cadre de la foi chrétienne.
Pourquoi le Psaume 34 ?
Le psaume 34 est un diptyque : la première partie jusqu’au verset 11 est constituée d’une hymne et d’un développement de l’expérience du psalmiste, tandis que la seconde partie prend un ton sapientiel. Trois thèmes sont abordés : celui de la rétribution, du bonheur, et enfin de la pauvreté spirituelle.
Pourquoi le Psaume 32 ?
Structure et thème du psaume — Le psaume 32 exprime la joie du psalmiste d’avoir été libéré d’une grande souffrance. Il s’articule en deux parties : aux versets 1 à 5, le psalmiste proclame le bonheur de voir sa faute remise par Dieu, et du verset 6 au verset 11, il manifeste sa confiance dans le fait que Dieu le guide sur le bon chemin.
Quel est le vrai nom de Jésus ?
Le nom de Jésus en hébreu était ‘Yeshua’ qui se traduit en anglais par Josué. Alors, comment avons-nous obtenu le nom « Jésus »? Et « Christ » est-il un nom de famille? Regardez l’épisode pour le savoir!
Quel est le vrai nom de Dieu ?
Jéhovah (/dʒɪˈhoʊvə/) est une latinisation de l’hébreu יְהֹוָה Yəhōwā, une vocalisation du tétragramme יהוה (YHWH), le nom propre du Dieu d’Israël dans la Bible hébraïque/Ancien Testament. Le Tétragramme יהוה est considéré comme l’un des sept noms de Dieu dans le judaïsme et une forme du nom de Dieu dans le christianisme.
De quelle religion était Jésus ?
Bien sûr, Jésus était juif. Il est né d’une mère juive, en Galilée, une partie juive du monde. Tous ses amis, associés, collègues, disciples, tous étaient juifs. Il adorait régulièrement dans le culte communautaire juif, ce que nous appelons les synagogues.
Quand Jésus est-il né ?
Il est né de Joseph et de Marie entre 6 avant notre ère et peu de temps avant la mort d’Hérode le Grand (Matthieu 2 ; Luc 1 : 5) en 4 avant notre ère.
Où est née Jésus ?
Bethléem s’étend à 10 kilomètres au sud de la ville de Jérusalem, dans les collines calcaires fertiles de Terre Sainte. L’emplacement où se dresse aujourd’hui l’église de la Nativité, à Bethléem, est reconnu au moins depuis le IIe siècle après J. -C. comme l’endroit où Jésus est né.
Jésus a-t-il jamais dit qu’il est Dieu ?
Au cours de sa vie, Jésus lui-même ne s’est pas appelé Dieu et ne s’est pas considéré comme Dieu, et
Qu’est-ce que Jésus a dit au sujet du Père?
« Si vous m’aimiez, vous seriez heureux que je m’en aille vers le Père, car le Père est plus grand que moi. Je vous l’ai dit maintenant avant que cela n’arrive, afin que quand cela arrivera, vous croyiez. mais le monde doit apprendre que j’aime le Père et que je fais exactement ce que mon Père m’a commandé. ‘Venez maintenant, partons.
Combien de fois Jésus a-t-il dit mon père ?
Jésus fait sortir cette balle du parc—Jésus appelle Dieu ‘Père’ plus de 165 fois!
Quel est le rôle de Dieu le Père ?
Dieu le père | Notre Père céleste, le Père de notre esprit Dieu le Père est l’Être suprême en qui nous croyons et que nous adorons. Il est le Créateur, Gouverneur et Conservateur suprême de toutes choses. Il est parfait, il a tout pouvoir et il connaît toutes choses.
- Il « a un corps de chair et d’os aussi tangible que celui de l’homme » (D&A 130:22).
- Le Père de notre esprit L’une des grandes questions de la vie est : « Qui suis-je ? » Un chant de la Primaire très apprécié aide même les petits enfants à répondre à cette question.
- Nous chantons : « Je suis enfant de Dieu, et il m’a mis ici.
» La connaissance que nous sommes enfants de Dieu nous donne de la force, du réconfort et de l’espoir. Nous sommes tous littéralement enfants de Dieu, engendrés spirituellement dans la vie prémortelle. Étant ses enfants, nous pouvons être assurés que nous avons un potentiel divin et éternel, et qu’il nous aidera dans nos efforts sincères pour l’atteindre.
Le Créateur suprême Notre Père céleste est le Créateur suprême. Par l’intermédiaire de Jésus-Christ, il a créé les cieux, la terre et tout ce qui s’y trouve (voir Moïse 2:1). Alma a dit : « Tout montre qu’il y a un Dieu ; oui, la terre et tout ce qui se trouve sur sa surface, oui, et son mouvement, oui, aussi toutes les planètes qui se meuvent dans leur ordre régulier témoignent qu’il y a un Créateur suprême » (Alma 30:44).
L’auteur du plan du salut Notre Père céleste veut que nous demeurions avec lui éternellement. Son œuvre et sa gloire sont de « réaliser l’immortalité et la vie éternelle de l’homme » (Moïse 1:39). Pour que cela soit possible, il a préparé le plan du salut.
Il a envoyé son Fils bien-aimé, Jésus-Christ, détacher les liens de la mort et expier les péchés du monde : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3:16).Ce sacrifice est la plus grande expression de l’amour que notre Père nous porte.
Parvenir à connaître Dieu le Père En tant qu’enfants de Dieu, nous avons des liens particuliers avec lui, qui nous distinguent de toutes ses autres créations. Nous devons chercher à connaître notre Père céleste. Il nous aime et il nous a donné la possibilité précieuse de nous approcher de lui par la prière.
- Il entend nos prières humbles et sincères et il y répond.
- Nous pouvons aussi connaître notre Père céleste en apprenant qui est son Fils bien-aimé et en appliquant l’Évangile dans notre vie.
- Le Sauveur a enseigné à ses disciples : « Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père Celui qui m’a vu a vu le Père » (Jean 14:7, 9).
Nous nous approchons de Dieu le Père en étudiant les Écritures et les paroles des prophètes modernes, et en rendant service. Lorsque nous faisons la volonté de Dieu et menons la vie qu’il veut nous voir mener, nous devenons davantage semblables à lui et à son Fils.
Qui est notre Père dans la foi ?
Dans le judaïsme, Paul a vu en Abraham « l’ancêtre selon la chair ». Dans les nations, ou dans l’universalisme, il le voit comme le « père » qui appelle la filiation et la fraternité.