Lycée Marc Bloch de Sérignan

Astuces, Conseils, Idées

Quand Planter Un Phormium En Pleine Terre?

Quand Planter Un Phormium En Pleine Terre
Quand planter le phormium? Plantez le phormium au printemps de préférence, ou bien en fin d’été.

Est-ce que le phormium craint le gel ?

Le Phormium est facile à cultiver dans les régions où il ne gèle pas férocement. Protégez le pied d’un épais paillasson de graviers ou de feuilles mortes afin de conserver l’humidité du sol en été et protéger les racines du froid en hiver.

Où placer un phormium ?

Où planter un phormium ? – Placez votre phormium en pot au soleil ou à la mi-ombre, Plante idéale pour le bord de mer, le phormium résiste bien aux embruns. Pensez à lui laisser de l’espace pour se développer. Selon les espèces, la plante peut atteindre plus d’un mètre d’envergure avec ses grandes feuilles arquées.

Comment planter un phormium ?

– Planter : Creusez un trou légèrement plus grand que la motte de votre phormium et plantez-le à la même profondeur que le niveau du sol de la motte. Tassez bien la terre autour des racines et arrosez généreusement pour aider à établir la plante.

Est-ce que le phormium se taille ?

Phormium en pot : nos conseils d’entretien Le Phormium, communément appelé Lin de Nouvelle-Zélande, doit son surnom à son habitat naturel ainsi qu’à l’utilisation de ses fibres dans l’industrie textile, inspirée des pratiques maories. Rapporté de voyage et bien acclimaté aux climats tempérés de nos contrées, le Phormium est notamment cultivé par la pépinière horticole de Kerguiduff, en Bretagne.

  1. Romain, le gérant de cette exploitation familiale transmise de génération en génération, produit de façon locale et durable cette variété pour Bergamotte.
  2. Comme sa région d’origine des îles du Pacifique, l’élégant feuillage persistant et panaché du Phormium appelle au grand large.
  3. Son port touffu, graphique et exotique, trône avec majesté sur une terrasse, un balcon ou planté dans un jardin.

Peu exigeant et assez rustique, son allure spectaculaire ne manque pas d’attirer tous les regards, peu importe la saison. Préférez une situation chaude et ensoleillée pour y exposer votre Phormium. Vous pourrez réaliser la plantation au printemps, de mars à avril, ou à la fin de l’été, de septembre à octobre. Évitez les périodes de gel ou de sécheresse. Assurez-vous que le sol soit suffisamment drainant.

Pour un Phormium cultivé en pot, utilisez du terreau ordinaire, que vous pourrez éventuellement mélanger avec un peu de sable. Le s’effectue tous les 2 à 3 ans, si les racines de la se trouvent à l’étroit dans leur pot. Pour une culture en pleine terre, réalisez un mélange de terreau et de terre de jardin, auquel vous pourrez également ajouter du sable.

Arrosez à une fréquence que vous adapterez en fonction des conditions météorologiques, notamment en période de fortes chaleurs et de sécheresse. Veillez à patienter le temps que la terre ait séché avant de réitérer l’arrosage. Sachez qu’un Phormium en pot nécessitera une fréquence d’arrosage plus régulière qu’un sujet en pleine terre, qui une fois installé ne nécessitera qu’un entretien minimal.

En été, privilégiez un arrosage en soirée afin de limiter l’évaporation de l’eau. Si vous constatez le dessèchement des feuilles, intensifiez la fréquence d’arrosage. Procédez au simple nettoyage de cette en retirant les feuilles mortes, séchées ou abîmées à mesure qu’elles apparaissent. Après la floraison, supprimez à l’aide d’un sécateur les hampes florales de la plante en les coupant à la base.

Prenez soin de ne retirer les feuilles seulement lorsqu’elles sont fanées. Doté d’une rusticité moyenne, le Phormium supporte des températures négatives allant jusqu’à -8°C. En période de grand froid, il nécessitera d’être protégé. Si vous habitez une région dont les conditions hivernales sont rigoureuses, privilégiez une culture en pot, afin de pouvoir mettre votre plante d’extérieur à l’abri des éventuels dommages que le froid pourrait lui causer.

  1. Si vous le pouvez, déplacez-la vers un lieu abrité du gel, qui soit lumineux et non chauffé, comme une véranda ou un jardin d’hiver.
  2. En extérieur, préférez un emplacement exposé au sud et abrité des grands vents.
  3. Disposez un au pied de la plante, à l’aide de copeaux de bois ou de feuilles séchées, afin de protéger ses racines du gel.

Couvrez la plante avec un voile d’hivernage, et protégez son pot à l’aide d’un matériau isolant, type papier bulle ou papier journal. Particulièrement résistant, le Phormium ne présente pas de risque important de développer des maladies ou d’être la cible de parasites.

  1. Si vous observez le jaunissement des feuilles :Il s’agit certainement d’un excès d’eau dû à un sol trop humide au niveau des racines.
  2. Réduisez la fréquence d’arrosage que vous réaliserez avec modération en laissant la terre sécher.
  3. Assurez un drainage suffisant en disposant un lit de graviers ou de billes d’argile au fond du pot.

Si la plante présente des amas blancs : Il s’agit certainement des cochenilles, de minuscules insectes qui forment de petits amas cotonneux sur les feuilles et tiges. Pour y remédier, pulvérisez une solution à base de bicarbonate de soude diluée dans de l’eau tiède. La floraison du Phormium intervient après plusieurs années de culture, en été, de juin à juillet en fonction du type de climat. Elle forme de longues panicules dressées de fleurs rouges qui surplombent le feuillage. Elle peut cependant s’avérer rare ou peu abondante. Au terme de la floraison, supprimez les hampes florales fanées. Originaire de Nouvelle-Zélande, le Phormium se plaît particulièrement en climat océanique, comme sur la côte atlantique française. Sa silhouette érigée et ses feuilles acérées qui pointent vers le ciel apportent verticalité à tout décor. Plante architecturale et structurante, il se prête à de nombreuses utilisations et est idéal tant isolé qu’en massif, en jardin contemporain, exotique, de rocaille ou de bord de mer. Marie Experte Plante chez Bergamotte Pour Marie, les plantes n’ont aucun secret. De l’origine, aux producteurs, en passant par les astuces green, elle répond à toutes vos questions (ou vous aide à sauver vos plantes). DES COOKIES QUI VOUS VEULENT DU BIEN Bonjour ! Bergamotte utilise des cookies techniques, des cookies fonctionnels, des cookies statistiques et des cookies de ciblage,

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Quelle plante associer avec le phormium ?

Les meilleures plantes compagnes des phormiums Les feuillages colorés : vivaces modernes comme les heuchères, petits sédums, vignes ornementales Les exotiques : sauges arbustives, abutilon, bananier, canna, arum.

Quel est le plus beau phormium ?

Originaire de Nouvelle-Zélande, le phormium apporte de belles couleurs par son feuillage persistant dans un jardin exotique. Plus connu sous le nom de Lin de Nouvelle-Zélande, cette plante vivace s’acclimate parfaitement au bord de la mer. Idéal dans les jardins de la côte atlantique. Hauteur (hors pot) : 40 / 60 cm • Idéal au bord de la mer, ce phormium brown sugar, plus connu sous le nom de lin de Nouvelle Zélande, possède un beau feuillage bien érigé panaché de vert, brun avec un liseré orange. Rustique jusqu’à -8°C, il s’adapte bien en pleine terre dans un grand massif au soleil ou en pot sur une terrasse même l’hiver. (1) Connue également sous le nom de Lin de Nouvelle-Zélande, cette plante supporte parfaitement les embruns. Elle s’acclimate bien dans les jardins du bord de mer et apporte de belles couleurs par son feuillage persistant panaché de vert olive, de crème, de jaune et de liserés rouge orangé sous le soleil ! Rustique jusqu’à -10°C, le Phormium Alison Blackman est une magnifique vivace de climats doux. Le Phormium black in black a un superbe feuillage persistant et lumineux teinté de pourpre et de jeunes feuilles de couleur noire intense. Idéal à intégrer dans un massif de plantes vertes, rougesoù il renforce le côté graphique et met en valeur les autres végétaux. Il se plait au soleil et résiste bien aux embruns (rustique jusqu’à -7°C). Rustique jusqu’à -7 °C, le Phormium Cream Delight aime les climats doux comme le littoral atlantique et les sols frais : une plante indispensable à mettre dans les massifs du bord de mer ou sur un balcon pour donner un goût d’exotisme l’hiver ! Appelé également Phormium Cookianum ou Lin des montagnes, son feuillage persistant est apprécié pour ses couleurs verte claire et jaune crème. Hauteur (hors pot) : 30 / 40 cm • Le Phormium Duet ou lin de Nouvelle-Zélande demande peu d’entretien, adore le soleil et résiste aux embruns. Rustique jusqu’à -10 °C, il est conseillé pour les climats doux et les bords de mer en massif. Mais bien protégé l’hiver dans les régions plus froides (paillage et voile d’hivernage), il peut être placé en bac avec d’autres plantes (agaves, yuccas) ou sur un balcon pour une note d’exotisme. Le Phormium Duskky Chief a un feuillage majestueux qui se dresse vers le ciel Allant du bordeaux foncé au rouge en passant par le bronze, ses feuilles persistantes ont une texture plus fine que les autres espèces de Phormium. Une très jolie plante à intégrer dans un massif verdoyant pour une touche de brillance. Rustique jusqu’à -7°C, il est conseillé pour les climats doux et les bords de mer. Hauteur (hors pot) : 40 / 60 cm • Avec son feuillage persistant aux couleurs rose et pourpre avec un liseré vert, le phormium evening glow s’intègre parfaitement dans un massif de plantes exotiques dans les régions aux hivers doux. Idéal au bord de la mer, il supporte bien les embruns. Avec ses feuilles de couleurs jaune-crème panachées de vert clair et or et bordées de liserés vert foncé, le Phormium Golden Sword s’illumine au soleil qu’il adore. En pot, en bac ou en terre, il lui faut un sol drainant. S’adaptant parfaitement aux régions de bords de mer de l’Atlantique (-7°C), il suffit de le protéger l’hiver sous d’autres climats plus rudes. Hauteur (hors pot) : 40 / 60 cm • 80 / 100 cm • Connu également sous le nom commun de chanvre de Nouvelle-Zélande, le Phormium Jester se distingue des autres Phormium par les magnifiques couleurs de son feuillage persistant composé de rose, rouge, cuivre avec des bordures vertes et orangées. Le Phormium Joker® se distingue par son feuillage graphique avec des tons de vert clair, vert foncé et un joli liseré rose-rouge. Une plante parfaite à intégrer dans un massif ! Placée au soleil qu’elle adore, elle lui faut un sol drainant et frais. Rustique jusqu’à -7°C, ce lin de Nouvelle-Zélande résiste aux embruns des côtes atlantiques. Hauteur (hors pot) : 40 / 60 cm • Rustique jusqu’à -7°C, le Phormium Margaret Jones® se plaît au soleil et sur un soleil drainant. Avec son feuillage aux tons rose, brun et pourpre, cette plante s’intègre bien dans un massif ou seule dans un grand pot surtout dans les régions du littoral atlantique. Hauteur (hors pot) : 40 / 60 cm • Le Phormium Mooraker® est une plante vivace très graphique avec son feuillage élancé aux tons vert clair, vert foncé et jaune-crème. Rustique jusqu’à -7°C, il se marie parfaitement avec d’autres Phormium aux couleurs plus chaudes (rouge, orangé) dans un massif ou dans un pot dans un sol drainant. Le Phormium Platt’s Black est une plante vivace au feuillage persistant d’une jolie couleur noire résistante jusqu’à -7°C. Elle se plaît au soleil comme tous les phormiums qui se déclinent dans toutes les couleurs du rose à l’orangé, du jaune-crème au rouge Résistant aux embruns et rustique jusqu’à -7°C, le Phormium Rainbow Maiden adore le soleil et les sols frais et bien drainés. Hauteur (hors pot) : 60 / 80 cm • Avec son feuillage persistant rubané de couleurs rose-orange au centre et bordé de vert olive à vert foncé, le Phormium Rainbow Sunrise résiste bien aux embruns et au sel marin des côtes Atlantiques. Rustique jusqu’à -7°C, le lin de Nouvelle-Zélande s’adapte aussi bien en massif, en haie ou dans un bac. Hauteur (hors pot) : 60 / 80 cm • Comme tous les Phormium, le Phormium Sunset est une plante vivace incontournable en climat doux et maritime (rustique jusqu’à -7°C). Son feuillage persistant, coloré de rose-orangé avec des bords vert olive-brun, forme de grandes touffes graphiques, idéale pour les massifs ou une haie. Hauteur (hors pot) : 60 / 80 cm • 100 / 120 cm • (1) Le Phormium Tenax est une plante vivace idéale pour apporter une belle couleur verte et du graphisme avec son feuillage érigé dans un massif ou de la rocaille surtout en climat doux (rustique jusqu’à -7°C). Résistant aux embruns, le Lin de Nouvelle-Zélande se plaît au soleil et dans un sol bien frais et drainé. Hauteur (hors pot) : 40 / 60 cm • Idéal dans un massif exotique, le phormium tenax apricot queen possède de jolies feuilles striées jaune et vert avec un léger liseré rouge sur les bords. Avec son port bien dressé, il se développe jusqu’à 1 à 1,50 mètre d’envergure. Rustique jusqu’à -7°C, le Phormium Tenax Golden Ray est apprécié pour ses feuilles très graphiques aux couleurs vert clair et vert foncé, avec un mélange de jaune-crème et un petit liseré rouge-orangé. Cette plante appelée aussi Lin de Nouvelle-Zélande est très récente dans la famille des Phormiums. Hauteur (hors pot) : 40 /60 cm • Comme tous les Phormiums, le feuillage du Phormium Tenax Pink Panter est persistant et coloré toute l’année. Rustique jusqu’à -7°C, ce Lin de Nouvelle-Zélande doit être placé au soleil et dans un sol drainant. Seul dans un bac ou dans un massif, elle se plaît dans les régions aux climats doux. Le feuillage persistant du Phormium Tenax Pink Stripe est composé de nuances brunes à vertes foncées bordée d’un joli rose. Cette plante vivace appelée aussi Lin de Nouvelle-Zélande se plaît en climat doux, surtout en bord de mer (rustique jusqu’à -7°C) où elle résiste bien aux embruns. Hauteur (hors pot) : 60 / 80 cm • Le plus connu des Phormiums avec ses feuilles pourpres, le Phormium Tenax Purpurea s’acclimate très bien sous des climats doux comme les bords de mer des côtes Atlantiques. Rustique jusqu’à -7°C, le soleil et un sol drainant sont excellents pour sa santé ! Pour les climats plus froids comme le nord de la France, une protection hivernale est indispensable. Hauteur (hors pot) : 40 / 60 cm • Comme son nom l’indique, le Phormium Tenax Rainbow Queen, possède un feuillage persistant lumineux sur les tons de rose-orangé, de rouge, de vert et de brun. Rustique jusqu’à -7°C, il résiste bien aux embruns et se plaît particulièrement sous un climat doux au bord de la mer. Hauteur (hors pot) : 40 / 60 cm • 80 / 100 cm • Si le Phormium Tenax Sundowner porte le nom de coucher de soleil, il adore le soleil direct et résiste bien aux embruns (jusqu’à -7°C). Son feuillage persistant teinté de vert pourpré avec des bordures de rose-rouge cuivré donne un aspect graphique à un massif composé d’autres plantes exotiques. Hauteur (hors pot) : 100 / 120 cm • Comme tous les Phormiums, le Phormium Tenax Variegata supporte parfaitement les embruns et le soleil. Rustique jusqu’à -7°C, son feuillage persistant panaché de vert marginé de jaune forme une abondante touffe apportant une touche d’exotisme dans le jardin ou sur un balcon. Hauteur (hors pot) : 40 / 60 cm • Le Phormium tenax yellow wave possède de larges et grandes feuilles souples et arquées aux couleurs jaune et vert clair parcourues par des stries vertes foncées. Il pousse sous une forme buissonnante, idéal dans un massif de plantes exotiques. Comme son nom l’indique, les feuilles persistantes et graphiques du Phormium Tricolor comportent trois couleurs : vert au centre avec une large bande de jaune crème et bordées de rouge bordeaux. Elle s’acclimate bien dans les jardins du bord de mer en résistant aux embruns et à des températures jusqu’à -7°C. Le Phormium Trident® aime les bords de mer, les climats doux, le soleil et le sol drainant. Son feuillage persistant brun foncé avec un liseré rouge vif pour certaines feuilles apporte une touche d’exotisme dans un massif ou seul dans un pot. Rustique jusqu’à -7°C, le lin de Nouvelle-Zélande supporte très bien les embruns. Hauteur (hors pot) : 30 / 40 cm • 60 / 80 cm • Rustique jusqu’à -7°C, le Phormium Veneer® apporte une touche lumineuse dans un massif avec son feuillage persistant teinté d’orange, rose, bronze, crème, bordé de brun-chocolat. Cette plante vivace aime le soleil, se plait sous les climats doux de bords de mer et résiste aux embruns.

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Quel paillage pour phormium ?

Posez un paillis, minéral ou organique, afin de maintenir la fraîcheur pied le temps que le sujet forme de nouvelles racines. Dans un autre registre: découvrez notre sélection des plantes exotiques les plus résistantes. Épointage des feuilles sèches de de la plante.

Comment arroser les phormium ?

Arrosage du phormium – Le phormium demande à être arrosée lorsque le sol est bien sec entre 2 arrosage, surtout lors d’une culture en pot. En pleine terre, arrosez généreusement lorsqu’il fait chaud et surtout pendant les 2 premières années.

En été, l’ arrosage le soir diminue l’évaporation et contribue à l’économie d’eau

Phormium en pot : L’arrosage du phormium en pot doit être plus régulier que si il est en pleine terre. Si les feuilles du phormium se dessèchent, c’est souvent le signe d’un manque d’eau.

Quel engrais pour le phormium ?

Quel engrais donner à un phormium ? – Si la terre est naturellement riche (terre argileuse), il n’y a pas besoin d’apporter un engrais à un phormium. Il faut quel a terre soit pauvre, comme une terre de remblai ou un sol sableux, pour que cela soit nécessaire.

Comment réduire la taille d’un phormium ?

Phormium : comment le diviser ? Mis à jour le 5 Juillet 2023 par Alexandra 2 min. est une belle vivace persistante qui forme des touffes de feuilles linéaires et dressées, au style très graphique et exotique ! Les feuilles peuvent être unies ou panachées, et se déclinent dans une large gamme de couleurs : vert, orangé, bronze, pourpre, crème, jaune, cuivré Elles présentent souvent de belles nuances de couleurs, sous forme de stries longitudinales.

Le Phormium se plait au soleil, et demande peu d’entretien une fois installé. Idéal pour structurer un massif, il y amène du volume et de la verticalité. Il trouve sa place dans les rocailles, les jardins de bord de mer, les jardins exotiques ou graphiques, et peut également être cultivé dans un grand pot sur une terrasse.

Le Phormium forme avec le temps des rejets autour du plant d’origine : ainsi, pour le multiplier, il suffit de séparer ces rejets du pied-mère et de les replanter en pot ou à un autre emplacement dans le jardin. Découvrez tous nos conseils pour le diviser et ainsi obtenir de nouveaux plants !

Et pour en savoir plus sur sa culture, n’hésitez pas à consulter notre fiche complète La meilleure période pour diviser le Phormium est le début du printemps, vers le mois d’avril, mais il est aussi possible de le faire en automne. La division permet de réduire la taille d’un phormium devenu trop grand tout en obtenant de nouveaux plants.

Quand Planter Un Phormium En Pleine Terre

Si votre plant est grand et forme une large touffe de feuilles, vous pouvez commencer par attacher celles-ci ensemble à l’aide d’une ficelle, pour qu’elles ne vous gênent pas. Repérez les rejets périphériques en regardant où sont insérées les différentes touffes de feuilles, puis séparez-les du pied-mère en utilisant une bêche. Si votre Phormium n’est pas trop grand, vous pouvez aussi déterrer l’ensemble du plant, en creusant assez large et profond pour ne pas abimer les racines. S’il est en pot, sortez la motte délicatement. Retirez éventuellement le surplus de terre, puis séparez les rejets en veillant à ce que chacun ait bien une touffe de feuilles et suffisamment de racines.

Quand Planter Un Phormium En Pleine Terre

Coupez ensuite les feuilles à une quinzaine de centimètres de hauteur. Cela permet de limiter les pertes en eau par transpiration, en équilibrant le volume de feuillage et de racines, et d’éviter ainsi que les plants ne se dessèchent. Profitez-en également pour supprimer les feuilles mortes ou abimées, si vous en voyez.

Quand Planter Un Phormium En Pleine Terre

Replantez le pied-mère en pleine terre, et les rejets dans des pots individuels, dans un substrat drainant, ou en pleine terre à un emplacement ensoleillé. Arrosez généreusement. Continuez ensuite à arroser régulièrement pour assurer aux plants une bonne reprise.

Une Un pour couper les feuilles des rejets Des pots, si vous souhaitez planter les rejets en pot Un, ou un mélange de terreau et de sable grossier Un arrosoir

: Phormium : comment le diviser ?

Quand déplacer un phormium ?

A quel moment faire cette transplantation ? – Il est crucial de choisir le bon moment pour faire ces changements : l’automne est la saison idéale, pour la majorité des plantes de votre jardin, qui sont en repos végétatif. Les jeunes arbres, arbustes et rosiers seront ainsi déplacés en automne, voire en hiver pour les plantes dépourvues de feuille à ce moment de l’année, tant que le sol n’est pas gelé. Quand Planter Un Phormium En Pleine Terre

Quand planter le lin de Nouvelle-Zélande ?

Date de semis, division et plantation du Phormium – Des semis peuvent se faire au printemps mais mieux vaut diviser une grosse touffe à l’automne en prenant soin de ne pas abîmer les racines. La plantation peut se faire au printemps si vous achetez le lin de Nouvelle-Zélande en container.

Pourquoi mon phormium ne fleurit pas ?

LE FORUM DES FOUS DE PALMIERS Tout ce qui touche au jardinage en général et aux plantes un peu moins exotiques elisalova par elisalova » 21 mai 2013 22:11 Je vais passé pour une ignare, mais tant pis. j’étais persuadée que les phormiums ne fleurissaient pas.

Et puis ce soir que vois-je une tige qui se hisse de mon phormium tenax juste planté de vendredi dernier. du coup çà m’intrigue, inflorescence ou pas inflorescence ? je regarde un peu sur google et a priori oui çà fleurit. je n’ai pas trouvé des infos détaillées. a partir de quel âge un phormium fleurit ? il fait 1 seule tige florale ? et du coup çà m’amène à demander à partir de quel âge les cordylines fleurissent ? merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Messages : Enregistré le : 16 juin 2011 19:28 Localisation : Irvillac (Bretagne, Finistère) zone USDA 9 a/b / Nantes Contact : par » 21 mai 2013 22:34 oui, les phormiums fleurissent L’âge n’a pas vraiment d’importance mais s’il a commencé, il devrait fleurir tous les ans.

Concernant les cordyline, elle fleurissent aussi. Il n’y a pas d’âge pour qu’elles fleurissent et c’est très variable. J’ai ai une depuis quatre ans et qui fait 1m50 de tronc et qui n’a jamais fleuri alors que j’en ai vu pas loin de chez moi fleurir avec 20 cm de tronc et bien moins âgées.

Elisalova par elisalova » 21 mai 2013 22:37 Certains phormium ne fleurissent jamais ? j’ai ai un planté depuis le printemps 2010 et il n’a jamais fleuri, il s’est pourtant magnifiquement bien étoffé. bon pour mes cordylines qui n’ont pas encore de tronc, j’ai le temps alors. merci demeter par demeter » 21 mai 2013 22:52 C’est une question d’accumulation de température sur un long terme.

Si le plant est resté en serre, il a eu le temps de rentrer en cycle de floraison. Dans le sud ouest, les floraisons sont assez rares. Ceci dit, j’ai déjà vu des plants exposés contre des murs plein sud qui arrivent à rentrer en floraison tous les ans.

Messages : Enregistré le : 08 août 2008 08:42 Localisation : Préfailles 44770 côte de Jade – Zone 9a Contact : par » 22 mai 2013 08:32 Le lin de nouvelle Zélande est si costaud,qu’il lui faut un gel assez fort de – 10°pour le tuer,mais en général il repart des pieds,La floraison vient facilement et donne ensuite des graines viables qui germent bien,

Mais comme cette plante prend trop de place,c’est pourquoi je n’en ai pas dans mon mouchoir de poche, Toutefois il y a tout un éventail d’espèces et de cultivars de dimension réduite et de belles couleurs de feuillage, Joël 44770 N 47° 07.756 W 2° 12.367 44770 PREFAILLES ( Côte de Jade en Pays de RETZ ) O TITULAIRE D’ UN AVERTISSEMENT QUE JE N’ACCEPTE PAS elisalova par elisalova » 22 mai 2013 10:26 D’accord, merci pour toutes ces précisions.

  1. A priori le phormium que j’ai planté vendredi qui vient d’un pépiniériste a passé l’hivers en serre mais dès la fin des négatif a filé dehors.
  2. Messages : Enregistré le : 01 déc.2011 00:15 Localisation : Bordeaux Pellegrin / Anglet (Zone 9a/9b) par » 23 mai 2013 20:55 demeter a écrit : C’est une question d’accumulation de température sur un long terme.

Si le plant est resté en serre, il a eu le temps de rentrer en cycle de floraison. Dans le sud ouest, les floraisons sont assez rares. Ceci dit, j’ai déjà vu des plants exposés contre des murs plein sud qui arrivent à rentrer en floraison tous les ans.

Je ne trouve pas que les floraisons de phormiums soient rares en Aquitaine. Que ce soit sur Pau, Bayonne ou Bordeaux, tous les gros phormiums que j’ai pu voir fleurissent chaque année. Sebastian Un Fou de Palmiers sur Bordeaux et la Côte Basque! Messages : Enregistré le : 17 juil.2008 18:26 Localisation : Plougastel Daoulas, zone 9a par » 24 mai 2013 19:04 Dans le Finistère, les phormiums fleurissent tous les ans, ce qui montre que la chaleur n’est pas nécessaire ! Les tenax sont les plus beaux, avec des fleurs rougeatres et des hampes vraiment immenses (4m).

Le cookianum est plus florifère mais les hampes sont je trouve moins belles avec leur couleur jaune-vert. Les cordylines fleurissent pour la première fois au bout de 4 à 5 ans dans des conditions « normales », mais parfois beaucoup plus tôt en terrain très pauvre.

Comment planter un lin de Nouvelle-zélande ?

Quand planter le lin de Nouvelle Zélande ? – Effectuez sa plantation ou son rempotage de préférence au printemps ou à l’automne en région douce tandis que vous diviserez une touffe devenue trop imposante à l’automne. Installez-le au soleil, voire à mi-ombre. L’association d’un oranger du Mexique et du lin de Nouvelle-Zélande nous transporte sous des latitudes exotiques ! © Jardipartage

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Quelle terre pour le lin de Nouvelle-zélande ?

Principales variétés de Phormium et caractéristiques – Originaire de Nouvelle-Zélande, voici là une vivace qui a bien des atouts pour séduire. Traditionnellement exploité par les Maoris pour sa fibre utilisée en vannerie, le Phormium est une plante hautement décorative.

Cultivée en pleine terre ou en grand pot, la belle silhouette ultra-graphique sera une vedette au jardin, et ce tout au long de l’année. Le Phormium – aussi appelé Lin de Nouvelle-Zélande ou Lin des montagnes – déploie de longues feuilles lancéolées, telles de magnifiques épées, dressées, fières et persistantes, qui s’habillent au fil des saisons et des variétés d’une multitude de couleurs et de motifs.

En été, floraison et fructification rappellent un peu plus encore tout l’exotisme du sujet. De longues hampes florales dominent avec gaieté la belle touffe feuillue ; une nuée de fleurs rouge profond qui attirent à elles les regards et toute une faune gourmande, oiseaux, abeilles et autres butineurs. Quand Planter Un Phormium En Pleine Terre Au cœur d’un massif de graminées, en ponctuation d’une allée fleurie, en solitaire, vedette unique d’un jeu de potées, le Phormium a à offrir une verticalité majestueuse, une pointe d’exubérance, un fort ancrage graphique. Il ne vous reste plus qu’à choisir une variété et avec elle une teinte, un habillage, un style. Quand Planter Un Phormium En Pleine Terre Si vous préférez les robes panachées, optez pour le classique Lin de Nouvelle-Zélande ‘Variegatum’, un beau spécimen de taille moyenne – de 1 m à 1.50 m – vert vif et jaune crème. Du même acabit, ‘Blackman’ propose un panel de couleur plus original, oscillant entre le vert olive et le bronze mâtiné de reflets orangés.

Dans un autre style, tout aussi magnifique, on peut également citer ‘Pink Panther’, feuillage rose saumoné strié de bronze. Globalement plus petites, les variétés de Phormium cookianum proposent une silhouette également plus retombante. Certains de ces cultivars n’excèdent pas les 50 ou 60 cm comme le lin des montagnes ‘Blondie’, cultivar récent, proposant une belle touffe dont les feuilles vrillées jaunes bordées de vert feront merveille en grande potée.

D’autres sont de taille plus intermédiaire comme ‘Black Adder’, son mètre de haut et sa sublime robe grenat presque noire ou encore ‘Tricolor’, particulièrement lumineuse avec son feuillage vert à rayure jaune et rose, joliment assorti à sa floraison jaunâtre. Quand Planter Un Phormium En Pleine Terre Bien qu’exotique, le Lin de Nouvelle-Zélande s’accommode relativement bien à nos climats. Cultivé en pleine terre, il sera rustique à -5°C, résistera à de petites gelées tant qu’elles seront passagères, supportera vent marin et embruns – surtout les Phormium cookianum –, tolèrera une sécheresse momentanée – plus particulièrement les Phormium tenax,

Toutes les variétés de Lin de Nouvelle-Zélande apprécieront une exposition ensoleillée, un sol ou un substrat frais, sec, léger, sableux et surtout bien drainé.Sous des climats un peu rigoureux, la culture en pot est recommandée, l’hivernage en intérieur frais et lumineux préférable.Plantez votre Phormium de préférence au début du printemps ou encore en tout début d’automne.Pour une plantation en pleine terre, le trou de plantation doit être bien large, 3 fois supérieur à la motte, la terre travaillée et ameublie.

Installez impérativement une couche drainante au fond, du gravier par exemple. Mélangez à votre terre de jardin, un terreau de qualité, de préférence pour plantes méditerranéennes, du compost et un peu de sable. Arrosez généreusement. Paillez pour maintenir la fraîcheur mais également protéger votre plante des rigueurs hivernales. Quand Planter Un Phormium En Pleine Terre L’entretien du Lin de Nouvelle-Zélande est quasi inexistant. En pleine terre, maintenez un arrosage régulier la première année, hebdomadaire ou bi-hebdomadaire, tous les 15 jours seulement les années suivantes sauf en cas de sécheresse. Pour une culture en pot, apportez un arrosage régulier – dès que la motte est sèche – et un engrais liquide une fois par mois.

Durant l’hivernage, arrosez peu et interrompez l’apport en engrais. La taille est inexistante. Procédez simplement à un nettoyage des fleurs fanées à l’entrée du printemps en rabattant à 20 cm du sol les tiges. Coupez à ras les feuilles abîmées. Surveillez régulièrement votre plante pour détecter cochenilles farineuses et/ou tétranyque tisserand.

Ces deux redoutables ravageurs apparaissent généralement lors de fortes chaleurs ou en période de sécheresse. Le premier dépose des amas farineux et provoque parfois une décoloration des feuilles. Tentez de supprimer régulièrement les insectes repérés à la main.

Vous pouvez également pulvériser les parties aériennes avec à base de savon noir, Le second, un acarien microscopique, pique les feuilles pour se repaître de leur suc. Ces meurtrissures répétées ont pour conséquences le brunissement, le dessèchement et, à termes, la mort des feuilles. À l’apparition de fines toiles à la surface du feuillage, coupez les parties contaminées et brûlez-les.

Brumisez généreusement la plante à l’eau claire. En cas d’invasion importante, tentez un traitement au soufre, Astuces Jardiland : vous pouvez également avoir recours, en anticipation, à des auxiliaires de type chrysopes ou coccinelles pour vous assister dans votre lutte contre ces ravageurs.

Est-ce que la cordyline craint le froid ?

En effet, elle ne résiste pas à des températures inférieures à -5/-7°C environ, -10°C pour la plus rustique (la C. australis), à l’abri de l’humidité et des vents froids du Nord. C’est pourquoi, en climat plus rigoureux, elle doit être plantée en pot et rentrée pour l’hiver, en serre ou dans une véranda peu chauffée.

Quelle plante associer avec Phlox ?

4. LES BONNES ASSOCIATIONS – Les Phlox sont des plantes qui s’associent parfaitement avec d’autres plantes vivaces. Pour ce qui est du choix, il est extrêmement vaste, vous pourrez aussi bien privilégier des thèmes de couleur qu’associer deux couleurs radicalement opposées pour que chacune des plantes soit mise en valeur. Quand Planter Un Phormium En Pleine Terre Les Phlox seront alors associés à de la Corète du Japon, des Pivoines, des Echinacées mais aussi des Achillées.

Quand Faut-il tailler le lin ?

À la fin de la floraison, rabattez les plantes à une dizaine de centimètres du sol. Le lin étant une plante de sol pauvre, il n’a nullement besoin d’engrais. Généralement, les maladies et les parasites ne s’attaquent pas au lin.

Quelle fleur associé avec les Gauras ?

Gaura lindheimeri : 8 idées d’associations réussies au jardin Mis à jour le 10 Juin 2022 par Alexandra 3 min. Avec son port libre et sa généreuse floraison qui dure quatre à six mois, le est la petite touche indispensable pour donner volume et légèreté à vos massifs.

C’est une jolie vivace qui amène un ton doux et lumineux là où elle est plantée. Elle se marie bien en association avec d’autres graminées dans un jardin contemporain, ou encore dans un massif à l’anglaise très coloré et fleuri. Parce qu’il est très fin et léger, nous vous conseillons d’installer le gaura en groupe (par touffe de 3 à 5 pieds minimum) plutôt qu’en sujet isolé.

Cela donnera plus de volume au massif. Il s’associe très bien avec des fleurs aux couleurs pastel dans des tons rose, mauve ou bleu, comme les rosiers, pivoines ou lavandes. Pour accompagner ces teintes douces et les mettre en valeur, utilisez des feuillages argentés, comme celui du,

  • Attention toutefois si vous le plantez en bordure de massif : les variétés les plus hautes ont tendance à s’affaisser.
  • Vous devrez alors le tailler régulièrement pour maintenir son port trapu, le laisser s’appuyer sur des plantes plus rigides, ou le tuteurer.
  • Pour peu qu’il soit installé au soleil, le gaura est vraiment polyvalent Il trouvera facilement sa place dans votre jardin ! Si le gaura a autant de succès, c’est sans doute parce que son côté naturel et sa floraison vaporeuse nous rappellent les champs de fleurs sauvages Alors n’hésitez pas à le marier à d’autres plantes d’aspect champêtre, comme les,, ou,

Associé à des et à des fleurs au port libre et aéré, le gaura est vraiment parfait pour donner un aspect de prairie naturelle ! Scabiosa atropurpurea ‘Chile Black’, Gaura ‘Rosy Jane’ et Echinacea purpurea ‘The King’ Réalisez ainsi un massif très coloré constitué d’une grande diversité de fleurs, typique des jardins à l’anglaise.

  1. Plantez en arrière-plan des rosiers buissons ou des pivoines arbustives.
  2. L’association des tons blancs, roses et mauves créera immanquablement un effet romantique.
  3. Le gaura se marie à merveille avec les ! Il permet d’habiller joliment leur pied, en offrant une floraison délicate dans les mêmes tons.
  4. Installez le gaura aux côtés d’autres vivaces, comme les, ou Et surtout, à la, qui comme le Gaura se développe rapidement et possède des fleurs aériennes.

Ils composent ensemble un massif nécessitant peu d’entretien et résistant à la sécheresse. Gaura ‘Siskyou Pink’ (photo Otterman56), Penstemon ‘Rubicundus’ et rosier ‘Marguerite Hilling’ Le gaura est parfait pour constituer un jardin de et, à la fois contemporain et simple d’entretien.

La légèreté du gaura s’allie à la finesse des graminées. Ainsi, il accompagne très bien les stipa (cheveux d’ange) et les pennisetum, pour composer un massif où les mots d’ordre sont simplicité et légèreté ! Stipa tenuifolia, Gaura ‘Cherry Brandy’ et Pennisetum setaceum Le gaura est une plante adaptée à la sécheresse.

Vous pouvez l’utiliser en association avec des, pour constituer un jardin à dominante minérale et nécessitant peu d’entretien. Placez à ses côtés quelques plants de, ou, Profitez aussi de la floraison lumineuse de la Sauge de Jérusalem, ! Ce type de jardin sera parfait si votre terrain est déjà sec, drainant ou pentu.

Santolina chamaecyparissus, Gaura lindheimeri et lavande, Phlomis fruticosa (photo C.T. Johansson) Installé derrière des plantes plus basses, comme les, le gaura permet d’alléger le massif par ses longues et fines tiges florales. Il constitue un bel arrière-plan fleuri, qui apporte du relief à un massif de plantes basses, composé par exemple d’heuchères, alchémilles, ophiopogons, Ajuga reptans ou sédums Bergenia ciliata, Gaura lindheimeri et Heuchera micrantha ‘Palace Purple’ Placé avec des plantes aux feuillages plutôt sombres, il apporte beaucoup de clarté ! Vous pouvez en profiter pour créer des contrastes de couleurs.

Par sa floraison éclatante, il permet d’attirer l’œil sur un point du jardin en particulier (notamment les variétés à fleurs roses, comme ). Il adoucit également les floraisons aux couleurs vives, comme celles du Lychnis coronaria ou des gaillardes. Ajuga reptans ‘Mahogany Jaldety’, Gaura lindheimeri et Physocarpus ‘Midnight’ Le gaura ressort bien en bordure de pelouse, car il crée un contraste avec le côté rectiligne des bordures.

Il adoucit les lignes formelles par son aspect vaporeux et libre. Si vous avez un chemin droit et sobre, planter des gauras le long de celui-ci permettra de le transformer en une allée vivante et lumineuse ! Associez-le à d’autres plantes au port libre et aux floraisons aériennes, comme la, les, et le,

Vous pouvez ajouter des lavandes, népétas, ou le Phlomis fruticosa, Pour éviter qu’il ne s’affaisse, veillez à le tailler régulièrement ou à le tuteurer. Scène bordure de chemin avec Verbena rigida-Penstemons, Sanguisorbes et Scabieuses columbaria (photo : Dales Farm-NGS Norfolk -Credit Photo GAP Juliette Wade) / Gaura lindheimeri ‘Cherry Brandy’ / Verbena bonariensis (photo David J.

  • Stang) Une des grandes tendances du moment est de mêler, en jardinière, des traditionnelles annuelles avec des vivaces à fort développement qui donnent du souffle aux compositions.
  • Le gaura est un des meilleurs candidats pour ces mélanges peu orthodoxes Et esthétiques ! Il fera un très bel effet si vous le plantez dans des vasques, seul ou accompagné par des,, ou,

Prévoyez un contenant suffisamment large et profond, et installez une couche de gravier au fond pour faciliter le drainage. Scaevola aemula (photo Nemracc), Gaura lindheimeri ‘Snowbird’ et Bidens ‘Firelight’ Rédigé par Alexandra : Gaura lindheimeri : 8 idées d’associations réussies au jardin

Quel euphorbe choisir ?

Nous vous conseillons notamment la variété ‘Dixter’, aux couleurs vraiment flamboyantes. L’Euphorbia polychroma offre également une floraison vive, de couleur jaune-vert. On apprécie sa teinte acidulée et lumineuse.

Quelle association avec une cordyline ?

En pleine terre ou en pot, amplifiez le style exotique en associant la cordyline avec des phormiums, des graminées, des agapanthes, des grands alliums.

Quel arbuste résisté au gel ?

Quel arbuste résistant au gel garde ses feuilles en hiver ? – Les buis, bruyères et azalées font partie des petits arbustes persistants très robustes. Ainsi, en massifs ou en pots, ils habilleront les balcons, terrasses et jardins toute l’année. Si le buis est intéressant car très décoratif, les fleurs des bruyères et azalées vous enchanteront.

  1. En effet, en associant les différentes variétés, il sera possible d’en profiter presque toute l’année.
  2. Pour des haies fournies même en hiver, orientez votre choix vers des photinias et leurs belles feuilles rouges, les cotoneaster, dont les petites baies feront le plaisir des oiseaux ou encore les fusains et elaeagnus.

Ces arbustes résistant au gel vous feront profiter de leur feuillage coloré en toute saison. Pour aller plus loin dans votre création paysagère, Gamm vert vous propose une sélection de 14 plantes qui ne craignent pas le gel,

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Comment les plantes résistent au gel ?

Quand les températures baissent, nous sortons nos manteaux de duvet, nos belles écharpes tricotées et nos bottes fourrées. Et les plantes, comment font-elles pour se préparer aux grands froids ? Quelles adaptations leur permettent de ressusciter chaque printemps ? Peut-on les aider à passer à travers cette période de gel, de dégel et de vent froid ? Les végétaux nordiques, au cours de millions d’années, ont développé différentes adaptations afin de passer à travers des hivers rudes et sans merci.

En voici quelques-unes, plus fascinantes les unes que les autres, qui leur permettent de résister à des températures allant jusqu’à – 38 °C, sans fourrure ni couverture de laine. D’abord, avec la diminution de la photopériode et la baisse de la température, de nombreuses transformations biochimiques sont déclenchées.

Chez les feuillus, les feuilles, couvertes de capteurs photosensibles, réagissent en envoyant le signal à la plante de sécréter de l’éthylène. Cette hormone entraîne alors la formation d’un bouchon de liège qui isole les feuilles des réseaux de sève et provoque leurs abscissions.

Voilà ces arbres débarrassez de leurs feuilles pour l’hiver. Mais pourquoi alors les conifères ne perdent-ils pas leurs aiguilles ? Parce que leur forme et la couche de cire qui les recouvre diminuent leur perte en eau et qu’elles résistent bien au gel. Chez les végétaux ligneux a lieu un phénomène appelé endurcissement qui consiste à préparer les cellules à se protéger du gel.

Comment ? En accumulant des protéines, des sucres et des solutés dans les tissus pour augmenter leur résistance à la déshydratation et diminuer la température de cristallisation de la glace. Étonnant, non ? Et ce n’est pas tout, des changements dans l’expression de gènes répondant à l’acclimatation au froid et à la tolérance au gel ont même été observés.

Plus spécifiquement, certains végétaux ont des mécanismes d’adaptation renversants. Par exemple, des lichens et des mousses se déshydratent pour survivre à des températures extrêmement basses Tandis qu’à des températures de – 38 °C, certains végétaux arrivent à maintenir leurs liquides à l’état liquide en éliminant les noyaux causant la formation des premiers cristaux de glace.

Cet état, nommé la surfusion, est toutefois très instable. Les plantes annuelles et les vivaces ont quant à elles développé d’autres adaptations. Les annuelles, dont toutes les parties végétatives gèlent, produisent une grande quantité de graines qui assureront leur présence au printemps suivant.

Comment protéger des plants du gel ?

Protection contre le gel – Les méthodes indirectes (passives) – Les méthodes indirectes que l’on applique bien avant que le danger de gel soit imminent sont probablement les plus économiques et les plus efficaces. D’ailleurs, certaines ne sont que des précautions naturelles qui sont déjà très largement observées, mais il est néanmoins utile de les rappeler.

Le choix du terrain. Pour cultiver une espèce qui craint le gel, on doit choisir un terrain situé dans un endroit bénéficiant d’une période sans gel suffisamment longue. Pour les cultures très vulnérables, on évite les creux de terrain ou les fonds de vallon dans lesquels l’air froid s’amasse et stagne. Le long d’une pente, la présence de rideaux d’arbres compacts, de bandes boisées, de talus de route ou autres obstacles s’oppose à l’écoulement de l’air froid vers le bas et peut donc entraîner la formation de véritables lacs d’air froid. Le risque de gel au-dessus de ces obstacles s’en trouve donc accru. En revanche, dans les zones situées en-dessous, le risque de gel peut être moins élevé puisque l’écoulement de l’air froid du haut est partiellement contrarié. En implantant des brise-vent protecteurs aux bons endroits, on peut créer une zone bénéficiant d’un microclimat favorable à la maturité hâtive des cultures aimant la chaleur, et donc réduire le risque de dommages par le gel à l’automne. Les terrains situés en bordure de grandes masses d’eau sont habituellement moins gélifs car l’air ne s’y amasse pas aussi rapidement la nuit que sur la terre. En effet, les zones riveraines sont régulièrement sujettes, la nuit, à des brises de terre qui contribuent à éloigner le gel. Dans certaines régions, l’installation de vergers sur les pentes exposées au nord contribue à retarder la floraison jusqu’à ce que le danger de gel soit écarté. Les producteurs devraient connaître le risque de gel de printemps et d’automne dans leur région ainsi que les variations auxquelles ils doivent s’attendre chez eux. Les fluctuations typiques des températures qui se produisent sur le plan tant horizontal que vertical au-dessus des cultures, dans différentes situations de gel, sont décrites dans une autre fiche technique du MAAARO intitulé Le comportement du gel en Ontario, AGDEX 079. Idéalement, il est bon de savoir à quelle date les organes végétaux sensibles au gel risquent d’atteindre les températures critiques déclenchant les dommages. Bien que l’on puisse en apprendre beaucoup par l’expérience, il peut être parfois utile de mesurer les températures minimales en divers endroits de la ferme, en particulier si les terres sont vallonnées ou situées près d’un lac. Les relevés de températures peuvent aussi être utiles pour corriger les prévisions de températures minimales en fonction de la situation propre à la ferme. L’information donnée par la station climatique desservant la région peut souvent être utile pour déterminer le risque de gel, même si la situation de la station n’est pas toujours identique à celle de la ferme. En général, il vaut mieux se faire aider par un agrométéorologue ou un agroclimatologue d’expérience lorsqu’on doit relever et interpréter des données sur la température. Le déboisement. Dans les terrains en pente, l’éclaircissage des haies ou des espaces boisés contribue parfois à réduire le risque de gel en facilitant l’écoulement de l’air froid vers le bas. Il est préférable de se renseigner auprès d’un professionnel avant d’éclaircir, car il arrive que cela accroisse le risque de gel en contrebas des espaces boisés ou de la haie. En forêt, le risque de gel est plus élevé dans les clairières de petite étendue et il continue d’augmenter jusqu’à ce que la clairière couvre environ un hectare. Toutefois, au-delà d’une étendue de quelques hectares, le risque de gel diminue en général car la circulation de l’air est rétablie.Les pratiques culturales. Choisir les espèces et les variétés de cultures qui auront le temps de mûrir à l’intérieur des limites de la période sans gel. Par exemple, quand on cultive du maïs-grain, il faut choisir des hybrides qui atteignent la maturité avant qu’une gelée meurtrière ne puisse survenir. On peut déjouer le risque de gel de printemps pendant la floraison des fraisiers en optant pour des variétés à floraison tardive ou en retardant l’enlèvement des paillis à base de paille. Les pommiers nains sont plus à risque d’être lésés par le gel que les variétés à haute tige étant donné que, pendant les nuits de gel, les couches d’air situées près du sol tendent à être plus froides que les couches supérieures.Il faut semer et récolter les cultures sensibles au gel à l’intérieur des limites de la période sans gel dont bénéficie la ferme. Le semis ou la plantation doit être réalisé suffisamment tôt pour que la culture mûrisse avant que n’arrive une gelée meurtrière à l’automne. Il peut être avantageux de prendre un risque légèrement plus élevé au printemps qu’à l’automne dans le cas de certaines cultures qui peuvent être resemées si elles sont endommagées par le gel. Il vaut mieux semer à une époque où le risque est relativement faible (par exemple à un moment de l’année où il ne gèle qu’une fois tous les 10 ans, soit un risque de 10 %) plutôt qu’à la date moyenne où il gèle 5 fois tous les 10 ans (risque de 50 %). Si l’on tient à semer ou à planter avant que tout risque de gel soit écarté au printemps de façon à profiter des marchés lucratifs des primeurs, on doit se limiter à une superficie que l’on pourra protéger à l’aide d’une des méthodes directes de protection contre le gel. Il faut connaître le risque de gel de printemps et d’automne dans le champ que l’on met en culture. On peut endurcir certaines plantes de manière qu’elles résistent au gel en exposant les semences ou les jeunes plantules à des conditions de température variables, quoique la plupart des travaux réalisés dans ce domaine sont encore de nature expérimentale. Les plantes de serre sont souvent endurcies par exposition aux conditions du dehors avant d’être repiquées dans le champ. On a montré que le traitement des semences avec certains produits chimiques augmentait la rusticité de certaines plantes. L’épandage des bonnes doses d’engrais peut aussi aider les plantes à maintenir leur résistance. Les pratiques agronomiques. L’état du sol influe sur le risque de dégâts causés par le gel sur les organes tant aériens que souterrains des plantes. Ainsi, les sols meubles tendent à être plus froids en surface que les sols compactés parce que la conduction de la chaleur, pendant la nuit, y est plus faible. Il est donc conseillé de ne pas travailler le sol lorsque les bulletins météorologiques annoncent une gelée meurtrière, si les organes des plantes situés près du sol ont besoin de protection.L’humidité du sol exerce des effets qui se neutralisent. Les sols excessivement humides emmagasinent moins de chaleur pendant la journée étant donné que l’évaporation de l’eau accapare une grande part de l’énergie calorifique, ce qui peut réduire la quantité de chaleur qui sera restituée à la culture pendant la nuit. Par contre, des sols excessivement secs sont de médiocres conducteurs thermiques et n’ont pas la propriété d’emmagasiner autant de chaleur, d’où un risque accru de gel. Un sol tourbeux sec est un mauvais conducteur thermique qui possède une très faible capacité de rétention de la chaleur, de sorte que les températures nocturnes minimales à la surface de ce genre de sol peuvent être considérablement plus basses que sur les sols minéraux. On peut envisager d’améliorer les caractéristiques thermiques d’un sol tourbeux en lui incorporant de la terre minérale.Les paillis étalés sur le sol augmentent le risque de gel en se comportant comme des isolants. Ils gênent l’absorption de la chaleur pendant le jour, mais aussi sa dissipation pendant la nuit. Les paillis peuvent cependant aider à éviter les dommages causés par le gel, à condition qu’ils couvrent complètement les organes de la plante qui craignent le gel. Le fait de retarder l’enlèvement des paillis à base de paille au printemps dans les fraisières permet parfois de retarder le stade de la floraison jusqu’à ce que le danger de gel soit écarté. Par contre, la paille retarde aussi le réchauffement du sol et, si elle est encore sous les fleurs pendant un gel, le risque de dégâts augmente.Les cultures qui tapissent le sol des vergers agissent à la manière d’un paillis et peuvent donc augmenter le risque de gel. Mais elles peuvent aussi avoir des effets bénéfiques, comme freiner l’érosion du sol, ce qui compense pour le facteur risque de gel.Une des façons de protéger les parties souterraines des plantes consiste à augmenter l’épaisseur de terre qui les recouvre. Lorsque les plants des pommes de terre sont bien buttés, les tubercules sont moins sujets aux dégâts du gel. Comme les sols secs se refroidissent plus rapidement près de la surface, le fait d’apporter de l’humidité peut parfois contribuer à réduire le risque de dommages causés aux tubercules par le gel.Bien que les méthodes agronomiques ne permettent de relever la température que de quelques degrés, la protection qu’elles procurent, si minime soit-elle, équivaut à retarder les méfaits des gelées d’une ou deux semaines, voire plus, et dans certains cas, cela peut faire la différence entre une perte totale de la récolte et des dégâts relativement faibles. Les méthodes indirectes de protection contre le gel dont il a été question ci-dessus valent la peine d’être prises car, la plupart des années, elles évitent le recours aux méthodes de protection directes, qui sont coûteuses et envisageables uniquement pour des cultures dont la valeur par unité de surface est très élevée.

Comment protéger les arbustes du gel ?

Protéger les plantes de pleine terre – Elles peuvent être protégées par un simple paillage végétal tel que des écorces, du paillis de lin, un tapis de feuilles mortes, quelques centimètres de compost ou de fumier, En protégeant ainsi vos plantes vivaces mais aussi vos jeunes arbustes, vous leur assurez une protection des racines contre le gel.

Tous les paillis végétaux ont l’avantage d’être également de bons fertilisants, Cette protection atténuera l’effet du gel en protégeant notamment le système racinaire.

Les arbustes peuvent être emballés dans une toile de protection appelée voile d’hivernage qui protégera leur ramure.