La meilleure période est le début de l’automne pour que la plante profite des pluies et puisse installer son système racinaire avant le printemps. La plantation de printemps est aussi possible. En revanche, évitez de planter le buis quand il gèle et en plein été.
Quand mettre un buis en terre ?
Plantation du buis — Le buis peut être planté au jardin, ou en pot sur la terrasse. Mettez-le en terre de préférence à l’automne pour un meilleur enracinement. Vous pouvez également le planter au printemps, au mois de mars. Il s’adapte à tous les types de sols hormis les sols secs et n’a pas d’exigence particulière en termes d’exposition.
Selon son utilisation dans le jardin, placez les jeunes plants de manière plus ou moins espacée : 20 cm en bordure, 60 cm en haie et environ 1,50 m pour un massif. Ne vous attendez pas à un développement rapide et armez-vous de patience ! Si vous souhaitez planter votre arbuste en pot, privilégiez un pot en terre cuite.
Pensez à utiliser un engrais spécial arbuste, pour l’aider à bien grandir. Le semis du buis est également possible, mais c’est une méthode qui prend du temps. Les jeunes pieds devront être mis en terre lorsqu’ils atteignent 30cm.
Comment faire pour que le buis pousse vite ?
Comment réaliser la bouture de buis ? — Préparez des petits pots ou des godets que vous remplirez d’un mélange de terreau et de sable à parts égales, permettant d’obtenir un substrat bien drainant. Si vous devez faire beaucoup de boutures, installez-les plutôt directement sur un rang au potager, espacées de 10cm, en pleine terre ameublie et allégée par un ajout de sable. Profitez d’une taille de mois en A pour choisir des extrémités de tiges parfaitement saines, bien vertes ou légèrement ligneuses à leur base selon que ce soit en avril ou en août, et gardez les plus belles pousses faisant une douzaine de centimètres, pour bouturer.
Supprimez les feuilles de la moitié inférieure en faisant glisser vos pouce et index de la partie supérieure à effeuiller jusqu’en bas : les feuilles étant petites et les nœuds nombreux, vous en aurez suffisamment pour la reprise. Faites un trou avec un crayon ou un petit tuteur en bois dans le substrat bien humide du pot et insérez-y la bouture de sorte que le niveau des feuilles supprimées soit bien enterré.
Tassez autour et arrosez. Mettre un support couvrant transparent pour faire des boutures à l’étouffée n’est pas obligatoire. Vous pouvez placer les pots à l’ombre ou à mi-ombre pour éviter que le substrat dessèche trop vite, maintenez-le toujours un peu humide.
En pleine terre, ils ne craindront pas le soleil s’ils bénéficient de l’arrosage régulier du jardin. Soyez patient et protégez les boutures du gel lorsque l’hiver arrive, car l’apparition des premiers signes de reprise (nouvelles petites feuilles vert vif) se manifestera au bout de plusieurs mois seulement et indiquera un bon enracinement.
La transplantation ou mise en place des jeunes buis se fait généralement un an à un an et demi après la réalisation des boutures.
Est-ce que le buis craint le gel ?
Du buis partout — Le buis supporte toutes les expositions avec une préférence tout de même pour le soleil et la mi-ombre. Il est jusqu’à -20°C et est capable de supporter le gel. Il s’adapte à tous les types de sol, pourvu que ceux-ci ne soient pas détrempés même s’il a une préférence pour les terres calcaires, plus sèches qu’humides. Le buis se plante essentiellement au printemps ou à l’automne.
Quel emplacement pour un buis ?
L’entretien des buis en toute facilité Les buis préfèrent un emplacement abrité du vent, ensoleillé ou à mi-ombre, mais toutefois ni trop lumineux ni trop sombre. En effet, une exposition au rayonnement solaire intensif peut provoquer des brûlures, tandis que l’ombre permanente accroît le risque de développement de maladies cryptogamiques.
Les sols humides et une forte exposition du feuillage à la pluie sont également défavorables. Veillez de plus à ce que le sol soit bien drainé : les sols sableux tout comme les sols argileux très humifères sont tous aussi bien adaptés. Le pH doit être compris entre 6,5 et 7,5. Le choix de la variété dépend fortement du but recherché.
Pour confectionner des bordures ou des formes géométriques, choisissez de préférence les variétés à croissance lente. Les variétés rustiques conviennent également bien aux bordures de plates-bandes. Si la haie doit être un peu plus haute, l’espèce sauvage Buxus sempervirens (Buis commun) est idéale.
Premiers pas 1. Comme les racines du buis ont besoin de beaucoup d’air, il faut d’abord ameublir le sol. Bassinez les racines dans un seau d’eau pendant quelques instants, afin de les imprégner complètement. Réduisez ensuite les racines et les tiges d’environ 5 cm pour stimuler la croissance.2. Le trou de plantation doit mesurer de 25 à 30 cm de profondeur.
Il est important qu’il soit 15 cm plus large que la motte. Laissez un espacement suffisant par rapport aux autres plantes, car le buis forme des racines traçantes.3. Installez le buis dans son trou. Veillez à le planter à la même profondeur que dans le pot dans lequel vous l’avez acheté. Taillez de préférence votre buis pendant les deux dernières semaines du mois d’août. À cette saison, les nouvelles tiges ont viré du vert clair à un vert plus intense et se distinguent à peine des tiges plus anciennes. La taille doit être effectuée par temps couvert.
- La raison : les petites feuilles de l’arbre seront obligatoirement coupées, et ces points de taille se dessèchent par fort ensoleillement avec comme conséquence une coloration gris-vert particulièrement inesthétique.
- Le buis ne doit en aucun cas être taillé après la fin août.
- Certes, la plante forme de nouvelles tiges, cependant elles ne pourront pas mûrir suffisamment avant l’hiver et seront donc très sensibles au gel.
Il est toutefois possible de supprimer sans problème des tiges isolées qui dépassent. Faites du bien à votre buis ! Trois jours seulement après la taille, assurez une régénération optimale grâce à notre fortifiant spécial buis. Dites adieu aux feuilles jaunies par la sécheresse, le froid ou le manque de nutriments. Ce produit est directement absorbé par les feuilles et son effet est immédiat.
- Il améliore de plus la capacité de résistance des buis aux maladies et ravageurs.
- Pour les grands massifs, utilisez notre engrais à libération prolongée dont l’effet rémanent est de six mois.
- Il stimule la coloration verte et active le développement racinaire.
- Vous pouvez également utiliser un engrais liquide pour les plantes en bac sur la terrasse ou le balcon.
La teneur idéale en nutriments de nos engrais pour buis stimule le développement racinaire. L’ajout de fer donne une belle couleur verte au feuillage. La pyrale du buis fait partie des ravageurs les plus redoutés, car ses dégâts ont été considérables au cours des dernières années. Examinez préventivement les buis de préférence chaque semaine de mars à octobre. Cette chenille se caractérise par une tête noire, une coloration vert-jaune, des verrues noires, une peau striée de noir et de blanc et mesure jusqu’à 5 cm.
Où planter un buis en pleine terre ?
Comment planter le buis ? — 1 — Plantez vos buis au soleil ou à la mi-ombre au jardin ou en pot sur votre terrasse,2 — Les buis préfèrent les sols riches, calcaires et bien drainés, En pots, ils ne supportent pas d’avoir les pieds dans l’ eau,3 — Les buis sont des plantes rustiques,
- Ils supportent les grands froids.
- Parfois les jeunes pousses peuvent griller à la suite d’une gelée printanière.
- Ce problème est sans conséquence pour la plante qui renouvelle rapidement son feuillage abîmé.4 — Plantez vos buis de préférence au printemps ou en automne.
- Les très jeunes sujets peuvent être transplantés à racines nues,5 — Utilisés en bordure, plantez vos buis à 10/20 cm de distance.
En haie, espacez les de 60cm. En massifs la distance de plantation conseillée est de 1.50m.
Est-ce que le buis a besoin de beaucoup d’eau ?
Arrosage du buis L’arrosage est nécessaire les premières années après la plantation, et pendant les périodes de sécheresse, même si le buis, une fois bien installé, est capable de supporter la sécheresse. Il faut veiller à ne pas trop arroser, surtout en sol argileux, car les racines du buis demandent un sol bien aéré.
Comment avoir un beau buis ?
Faut-il donner de l’engrais au buis ? — Le buis est un arbuste capable de se satisfaire d’un sol pauvre. Cependant, si vous apportez de l’ engrais à vos buis installés en pleine terre, ils n’en seront que plus beaux, plus verts, plus vigoureux et résistants aux maladies. Chez les buis en pot, l’engrais est obligatoire car le subtsrat s’épuise rapidement.
Comment protéger les buis pour l’hiver ?
Des buis pour le Québec Cet arbuste très dense aux petites feuilles vert très foncé est autant utilisé pour faire des haies en Europe que nous utilisons le thuya (cèdre) au Québec. Et ils supportent mieux la taille que les thuyas: on peut vraiment obtenir des haies à l’allure «coupée au couteau» avec le buis.
- Cet arbuste très dense aux petites feuilles vert très foncé est autant utilisé pour faire des haies en Europe que nous utilisons le thuya (cèdre) au Québec.
- Et ils supportent mieux la taille que les thuyas: on peut vraiment obtenir des haies à l’allure «coupée au couteau» avec le buis.
- De plus, s’il arrive une avarie — une branche qui meurt, par exemple — le buis peut se régénérer à partir du vieux bois alors que le thuya en est incapable.
Son principal défaut? Une croissance désespérement lente: il peut atteindre jusqu’à 9 m de hauteur et 4 m de diamètre après 300 ans! Ainsi, une haie de buis d’Europe de 1,5 cm de hauteur a probablement 40 ans ou plus! L’autre hic, c’est que le buis d’Europe ( Buxus sempervirens ) n’est pas rustique au Québec.
- Même le cultivar le plus tolérant au froid, Suffruticosa, n’est que de zone 6b.
- On le réussit parfois dans la région de Montréal (zone 5b) dans un emplacement bien protégé des vents, mais on ne peut guère le recommander dans l’Est du Québec.
- Plusieurs jardiniers ont toutefois découvert que le buis de Corée ( B.
sinica insularis, mais habituellement vendu sous son ancien nom, B. microphylla koreana ) pouvait se cultiver dans la région, à condition de bien le protéger des vents d’hiver. Sa véritable zone de rusticité est 5a, mais en le recouvrant l’hiver, on peut parfois le réussir en zone 3b.
C’est pourquoi les amateurs de ce buis ont l’habitude de lui construire une petite maisonnette de bois pour le protéger du froid. Il faut dire que ce buis est moins attrayant que le buis d’Europe, puisque son feuillage devient jaunâtre l’hiver, et il est de taille nettement moindre (à peine 60 cm de hauteur par 75 cm de diamètre sous notre climat), mais au moins on peut le réussir parfois.
Des buis vraiment rustiques Dans les années 70, la pépinière Sheridan en Ontario a expérimenté avec l’hybridation des buis les plus rustiques existants, pour faire une découverte fascinante: en croisant le buis d’Europe avec le buis de Corée, on obtenait des plants plus rustiques que l’un ou l’autre des parents! On appelle ce phénomène la «vigueur de l’hybride», ou hétérosis.
Ainsi ces nouveaux buis, qui commencent à peine à paraître sur le marché au Québec, sont rustiques sans aucune protection en zone 4b (la zone de la région de Québec) et même, là où la neige s’accumule, jusqu’en zone 2. Vous voulez en voir la preuve? Allez au Jardin Roger-Van den Hende de Sainte-Foy, où vous trouverez des Buxus Green Mound qui poussent à merveille, sans la moindre protection hivernale (à part une protection contre l’écrasement), depuis plus de 15 ans! Les « buis hybrides de Sheridan », comme on appelle maintenant ces nouveaux venus, sont toutefois des plants de taille restreinte (le plus haut ne dépasse pas 1,3 m) : il est donc difficile de les utiliser comme écran végétal.
On pourrait toutefois les employer comme minihaie pour délimiter un terrain ou une partie de terrain. Et leur taille restreinte en fait d’excellents sujets pour un parterre de broderie à la française, soit des plants taillés selon un motif d’arabesques.
- Une description et une culture Les buis hybrides de Sheridan ressemblent à un buis d’Europe de taille plus limitée : leur feuillage est aussi dense et ils restent verts durant tout l’hiver.
- Leurs petites fleurs verdâtres sont bien cachées parmi le feuillage, on ne les remarque pas.
- Enfin, leur bois est flexible, mais très solide : même si l’arbuste se fait comprimer par le poids de la neige, il se relève au printemps quand la neige fond.
Le buis est naturellement une plante de sous-bois, poussant mieux à l’ombre ou à la mi-ombre. Il peut tolérer le plein soleil, mais risque alors de subir des brûlures au cours de l’hiver. Mieux vaut alors le planter à l’abri du soleil du midi et des vents d’hiver, soit sous des arbres ou du côté nord ou est de la maison.
Sa croissance est relativement rapide : il atteint sa taille maximale en environ 7 à 10 ans. Tout sol bien drainé lui convient, même un sol glaiseux, mais il faut lui assurer une certaine humidité en tout temps. À cette fin, un bon paillis est toujours de rigueur. Par période de sécheresse estivale, il peut aussi falloir l’arroser à l’occasion.
Si le buis aime bien un sol riche, sans toutefois l’exiger, il faut tout de même éviter de le fertiliser trop abondamment, notamment avec un engrais riche en azote. Cela provoque une croissance plus rapide, mais sujette aux brûlures en hiver. Tous les buis hybrides de Sheridan prennent tout naturellement une belle forme dense.
- Il suffit de les planter en ligne droite et de les laisser pousser pour obtenir une belle haie, bien qu’il puisse parfois être nécessaire de supprimer à l’occasion une tige égarée ou de les égaliser un peu.
- Pour les tailler en carré ou selon une autre forme géométrique, procédez à la fin du printemps, après l’apparition des nouvelles feuilles.
On peut tailler une deuxième ou troisième fois, au besoin, pour maintenir en permanence une apparence « coupée au couteau ». La meilleure protection hivernale est un automne bien arrosé ! En effet, tant que les tissus arrivent à l’hiver bien gorgés d’eau, il n’y aura pas de dommages hivernaux.
Nouvellement inscrite sur la liste des fermes florales du Québec, la Pivoinerie Lili de Saint-Albert, dans le Centre-du-Québec, ouvrait ses champs au public pour l’autocueillette cet été et poursuivra cette activité jusqu’à la mi-septembre. Hormis sa fleur vedette, la ferme présente plus de 15 variétés de fleurs, dont les glaïeuls, les tournesols et les dahlias. De quoi repartir après une journée en plein air avec un bouquet bien garni ! Nos étés sont plus chauds, les périodes de sécheresse, plus fréquentes et, souvent, plus longues. L’arrosage des plantes s’impose, une corvée dont on aimerait bien se passer. Si le petit potager ne peut se soustraire à un bain régulier sans compromettre une belle récolte, le jardin de fleurs est habituellement moins exigeant. Et il saura même taire sa soif si vous prenez la peine de choisir des espèces tolérantes à la sécheresse. C’est le cas d’ailleurs de nombreux végétaux utilisés par les municipalités. Bref tour d’horizon de quelques plantes réputées pour leur sobriété. Chloé Roy n’avait pas réalisé à quel point le fantasme de la fermette et de la campagne touchait beaucoup de gens. Surtout, combien son exemple d’entreprise partie de rien, bâtie par des femmes et gérée par des femmes, pouvait être inspirant. Avec Floramama, son premier ouvrage, elle souhaite faire partager un savoir accumulé en près d’une décennie de floriculture et démontrer que ce rêve fleuri est plus accessible qu’il ne le semble. On trouve des arbustes pour tous les goûts, tous les terrains, petits ou grands. Le choix est considérable. Notre collaborateur Pierre Gingras en cultive depuis des années, des spécimens aujourd’hui à pleine maturité. Il nous présente quelques-uns de ses préférés. Ni l’absence de terrain ni le manque d’espace extérieur n’empêchera les jardiniers motivés de croquer dans des légumes fraîchement sortis du sac ! Il suffit d’un balcon, d’une terrasse, d’un stationnement ou d’un bout de ruelle pour jardiner dans ces contenants bien adaptés à la vie en ville et aux petits espaces. Conseils et astuces pour réussir ses cultures en sac. Il n’y a pas très longtemps, ils inspiraient le dégoût. Aujourd’hui, la plupart sont à la mode. Le public a réalisé que les insectes pollinisateurs sont responsables d’une grande partie de ce qui se retrouve dans notre assiette et qu’une grande partie de la production agricole a absolument besoin de leur intervention. Mais bon nombre de ces invertébrés sont en déclin et exigent un coup de main. Tour d’horizon d’un petit monde ailé et quelques suggestions de plantes bienveillantes. Elsie Reford a passé plus de 30 ans à transformer une forêt d’épinettes en sanctuaire de plantes. Son arrière-petit-fils a consacré l’équivalent de sa vie à préserver cet héritage devenu une référence en horticulture. Avec un troisième ouvrage sur le sujet, Alexander Reford ouvre un autre pan de l’histoire de son aïeule et dévoile certains des plus beaux trésors des Jardins de Métis. Si la ferveur horticole de la pandémie s’est un peu estompée, le nombre de nouveaux adeptes reste important et la clientèle des centres de jardinage a rajeuni. Après le potager, des néophytes ont même commencé à s’initier aux fleurs — au grand bonheur des pépiniéristes ! Voici quelques suggestions d’annuelles qui enjoliveront votre environnement durant tout l’été. Des plantes coriaces, à entretien minimal et à la palette de couleurs impressionnante. Avec le retour du beau temps, les idées vertes bourgeonnent au Québec. À Montréal, la jeune équipe des Nouveaux Voisins cultive un art paysager à l’aide de jardins sauvages, rappelant les prairies et les sous-bois, pour le bien-être des hommes, mais aussi des autres espèces avec lesquelles ceux-ci cohabitent. Le confinement a incité nombre d’entre nous à ajouter un peu de verdure dans nos intérieurs. L’engouement pour les plantes rares, en particulier, a été tel que certains en ont fait une collectionnite aiguë et bénéfique pour la santé ! Témoignages et conseils de Guillaume Mousseau, un spécialiste passionné, et de Nadia Bérubé, qui a acquis quelque 300 végétaux depuis trois ans. Le goût d’aménager son espace extérieur croît à mesure que les jours s’allongent et que les rayons du soleil se réchauffent. Il en faut souvent peu pour lui donner un nouvel éclat. Voici cinq tendances qui se dessinent à l’approche des beaux jours. Cynthia Dulude adore le maquillage, mais également le jardinage. C’est un passe-temps qu’elle a découvert plus tard dans sa vie, mais qui y prend une place grandissante. Au point où elle vient de publier un cahier de jardinage pour les passionnés qui souhaitent s’organiser. Et elle est la première à l’utiliser ! Quels sont les problèmes le plus souvent évoqués par les amateurs de jardinage au sujet des semis intérieurs ? J’ai posé la question à des semenciers qui doivent répondre chaque année à des clients déçus par leur expérience. L’étiolement des plants et la mort prématurée des plantules sont les revers les plus courants. Conseils pour éviter des déceptions lors de vos semailles. De nombreuses plantes d’intérieur, dont les poinsettias, cactus de Noël, anthuriums et cyclamens des Fêtes, peuvent être nocives pour les jeunes enfants de même que pour minou et toutou. Une invitation à la prudence. (Ottawa) Le jardinage urbain gagne de plus en plus en popularité, notamment à cause de la hausse des prix dans les épiceries. Certains cactus volent la vedette ces temps-ci dans les jardineries avec leur étonnante floraison. D’autres pourraient bien n’attendre que quelques ornements pour vivre à leur tour leur heure de gloire durant les festivités. Et si Noël prenait un air exotique cette année ?
: Des buis pour le Québec
Comment mettre en forme un buis ?
Le moment de tailler le buis en boule — La croissance des plantes dure quelques années en fonction de leur taille. Les buis doivent être taillés pendant la saison de pousse, de mai à fin août. Selon leur vigueur, les buis taillés en figures existantes nécessitent en outre une taille régulière.
Est-ce que le buis pousse vite ?
La croissance du buis est lente, 5 à 7 cm par an pour les jeunes plants et 10 cm environ pour les buis communs adultes.
Quelle plante associer avec des buis dans un jardin ?
L’art de marier les feuillages « Le comble de la sophistication c’est le vert sur le vert » Robert Dash Les jardins très architecturés faits de haies et arbustes taillés peuvent tre de vrais chefs-d’oeuvre (Erygnac, Marqueyssac, Prieuré d’Orsan, et les jardins à la Française).
Mais réussir de tels jardins n’est pas à la portée du premier jardinier venu !Un jardin uniformément vert avec des feuillages identiques ou trop proches d’aspect peut donner une impression de monotonie. Pour l’éviter il est conseillé de respecter quelques règles qui permettront de surprendre le visiteur : Jouer avec les formes et les textures des feuillages : Les feuilles peuvent tre entières (cordiformes, lancéolées), découpées mais aussi lisses (mates ou brillantes) ou velues etc.
Associer des formes de feuillages très différents permet de créer des contrastes forts qui mettent en valeur chacun de ces feuillages. Les grandes feuilles des hostas sont ainsi mises en valeur par le feuillage fin des graminées ou le feuillage découpé des fougères. Superbe association du feuillage fin de la graminée et des grandes feuilles de l’hellébore. En associant des feuillages voisins, on crée un effet de buisson et les feuillages ont alors moins d’intért. Un conseil : ne pas abuser des feuillages panachés, qui risquent de produire, s’ils sont trop nombreux, un ensemble bariolé. Opposition de 2 feuillages très différents Jouer sur les contrastes de couleurs :Associer trop de feuillages sombres risque de donner un ensemble triste et déprimant. Trop de feuillages clairs donneront un ensemble manquant de caractère. L’idéal est d’associer les deux.Les feuillages vert-jaune du Choisya ‘Sundance’, du Physocarpus opulifolius ‘Dart’s Gold’ sont mis en valeur près des feuillages sombres de l’Osmanthus burkwoodii ou du Viburnum tinus. Le Cornus au feuillage vert-jaune illumine la haie de conifère. Jouer avec la lumière :L’orientation d’un massif et l’implantation des sujets par rapport au soleil sont très importants. Tout jardinier qui a planté un Cercis canadensis ‘Forest Pansy’ sait qu’il est impensable de ne pas pouvoir profiter de ses feuilles à contre-jour.
Le contre-jour pour certains feuillages dévoile les nervures, la texture des tissus et certains autres arbustes verts à grand feuillage s’y prtent particulièrement bien. Je pense notamment aux Acer.Tout jardinier-photographe sait que les feuillages sont beaucoup plus beaux en lumière rasante, c’est-à-dire en début ou fin de journée.
Le vert banal d’une feuille, suivant la lumière, peut se révéler subtil. Jouer avec les silhouettes et les volumes : L’association des plantes à la silhouette élancée avec des plantes à formes géométriques compactes est intéressante. Par exemple, des boules de buis se marient très bien avec des graminées ou des vivaces telles que le fenouil (Foeniculum vulgare) ou la Verbena bonariensis. La taille en transparence permet d’alléger les silhouettes des arbustes. On peut ainsi transformer un Camellia ou un Rhododendron massif en un grand arbuste élégant qui dévoile ses troncs. Taille en transparence Sondage Plan du site Recevez la newsletter Inscrivez-vous à la newsletter pour être informé des dernières nouveautés du site Contacter le webmestre : L’art de marier les feuillages
Quand arroser le buis ?
Arrosez abondamment à chaque fois. Si la température est trop élevée, il faut l’arroser deux fois par jour, une fois tôt le matin et une fois le soir. À l’automne, sa croissance ralentira et la fréquence des arrosages pourra être réduite.
Quel entretien pour le buis ?
La taille du buis est incontournable ! Cet arbuste persistant se pliera à toutes vos envies, adoptant n’importe quelle forme ! Arbuste très accommodant, le buis ne nécessite aucune intervention particulière pour bien se développer. — Apportez un bon engrais complet au printemps.
Attention ! Les buis sont très sensibles aux désherbants qui provoquent une décoloration durable du feuillage. — Les buis nécessitent un arrosage abondant. Évitez toutefois l’eau stagnante surtout s’ils sont plantés en pot. Dans les régions aux étés chauds et secs, rependez un paillis organique ( mulch d’écorce, paillette de lin) pour un meilleur résultat.
— Plantés en pot, les buis ont besoin d’être rempotés régulièrement. Pour cela, préparez un mélange de terreau et de terre de jardin et placez-y votre buis. Astuce : pour rajeunir un vieux sujet dont la taille n’a pas été assez régulière et suivie et qui présentent des formes désordonnées, rabattez sévèrement.
Quel est le prix du buis ?
PRIX DE VENTE (Septembre 2023 — Octobre 2023 — Prix pour particulier et professionnel) D’ UN BUIS BOULE — Des buis poussant naturellement en boule sans taille sont en promotion à la pépinière à 19 euros.
Pourquoi planter du buis ?
Les multiples utilisations du buis — Le buis a montré très tôt sa capacité à être taillé. Il en est devenu un incontournable de l’art topiaire, Mais son usage ne se limite pas à cela. De croissance lente, il convient parfaitement à la formation de haies, de bordures de toutes tailles (à lire : Planter une bordure de buis ) et même se cultive également très bien en pot, Vert quelle que soit la saison, il donne également de la structure aux massifs arbustifs. >> A lire aussi : Structurez votre jardin avec le buis,
Quel engrais pour le buis ?
Ils favorisent le développement des plantes et la croissance naturelle. Grâce aux granules Sphero, l’ engrais pour buis de Hauert est exempt de poussière et facile à épandre. Les éléments nutritifs sont absorbés facilement par les plantes: ils sont répartis de manière identique d’une plante à un autre.
Pourquoi mon buis ne pousse pas ?
Arrosage des buis en pot : —
Le buis peut très vite manquer d’eau, vous verrez alors son feuillage jaunir et se dessécher. En cas de chaleur, n’hésitez donc pas à l’ arroser régulièrement sans toutefois en inonder les racines.
Quels sont les bienfaits du buis ?
Originaire d’Europe méridionale, le buis est un arbre connu pour ses qualités ornementales. Son bois est par ailleurs utilisé pour la fabrication d’instruments de musique. Quant à ses feuilles, elles possèdent de nombreuses vertus médicinales. — Le buis contient surtout des alcaloïdes, des huiles essentielles et des tanins.
Les parties utilisées en phytothérapie sont les feuilles, dont le goût est amer. Séchées, elles sont ensuite préparées en infusions. Jadis, le buis était utilisé pour remplacer la quinine en cas de paludisme. Ses feuilles ont en effet une action fébrifuge – entendez par là qu’elles font chuter la fièvre – en cas d’hyperthermie ou d’inflammation des voies biliaires et urinaires.
Administrée par voie interne, cette plante serait un puissant cholagogue. C’est-à-dire qu’elle facilite l’évacuation de la bile vers l’intestin. Sans doute à ca titre, elle s’avérerait également efficace contre certaines affections hépatiques. En application externe, les feuilles sont utilisées pour préparer des compresses contre les douleurs rhumatismales, la goutte et les éruptions cutanées.
Enfin le buis exercerait également des effets bénéfiques sur le cuir chevelu. Se frictionner le crâne avec une lotion à base de buis paraît-il, permettrait de prévenir la chute des cheveux et de lutter contre les pellicules. A noter que la phytothérapie est utilisée en médecine traditionnelle depuis des siècles.
Son efficacité et son innocuité restent toujours discutées. Et pour cause, comme l’explique l’Organisation mondiale de la Santé dans un rapport de 1998, « un nombre relativement petit d’espèces de plantes ont été étudiées pour d’éventuelles applications médicales ».
Source : Plantes médicinales, Gründ
Quel terreau pour des buis ?
Un terreau adapté et une fertilisation sur mesure — Pour l’empotage et le rempotage de vos buis, utilisez un pot suffisamment grand avec des trous dans le fond pour faciliter l’évacuation des excès d’eau. Ensuite, choisissez un terreau approprié. Outre la fertilisation, la structure du terreau est très importante.
- Vos buis demandent un substrat aéré et riche en calcaire avec une bonne capacité à retenir l’eau et qui évacue rapidement les excès d’eau.
- Grâce à sa composition réfléchie et son taux d’acidité adapté, le répond à tous les besoins de vos buis pour une croissance saine et vigoureuse.
- Grâce à l’ajout de granulés de lave, ce terreau possède une structure aérée durable.
Ce terreau contient également des engrais organiques qui donnent à vos buis tous les éléments nutritifs nécessaires pendant 100 jours.
Comment avoir des buis bien vert ?
En résumé — Le buis est un gros consommateur de chaux. Sans chaux, le buis ne peut pas absorber suffisamment d’éléments nutritifs. Il ne se développera pas comme prévu et présentera souvent des maladies de carence, comme par exemple des feuilles qui jaunissent ou pâlissent sur les bords.
Comment protéger les buis pour l’hiver ?
Des buis pour le Québec Cet arbuste très dense aux petites feuilles vert très foncé est autant utilisé pour faire des haies en Europe que nous utilisons le thuya (cèdre) au Québec. Et ils supportent mieux la taille que les thuyas: on peut vraiment obtenir des haies à l’allure «coupée au couteau» avec le buis.
- Cet arbuste très dense aux petites feuilles vert très foncé est autant utilisé pour faire des haies en Europe que nous utilisons le thuya (cèdre) au Québec.
- Et ils supportent mieux la taille que les thuyas: on peut vraiment obtenir des haies à l’allure «coupée au couteau» avec le buis.
- De plus, s’il arrive une avarie — une branche qui meurt, par exemple — le buis peut se régénérer à partir du vieux bois alors que le thuya en est incapable.
Son principal défaut? Une croissance désespérement lente: il peut atteindre jusqu’à 9 m de hauteur et 4 m de diamètre après 300 ans! Ainsi, une haie de buis d’Europe de 1,5 cm de hauteur a probablement 40 ans ou plus! L’autre hic, c’est que le buis d’Europe ( Buxus sempervirens ) n’est pas rustique au Québec.
- Même le cultivar le plus tolérant au froid, Suffruticosa, n’est que de zone 6b.
- On le réussit parfois dans la région de Montréal (zone 5b) dans un emplacement bien protégé des vents, mais on ne peut guère le recommander dans l’Est du Québec.
- Plusieurs jardiniers ont toutefois découvert que le buis de Corée ( B.
sinica insularis, mais habituellement vendu sous son ancien nom, B. microphylla koreana ) pouvait se cultiver dans la région, à condition de bien le protéger des vents d’hiver. Sa véritable zone de rusticité est 5a, mais en le recouvrant l’hiver, on peut parfois le réussir en zone 3b.
- C’est pourquoi les amateurs de ce buis ont l’habitude de lui construire une petite maisonnette de bois pour le protéger du froid.
- Il faut dire que ce buis est moins attrayant que le buis d’Europe, puisque son feuillage devient jaunâtre l’hiver, et il est de taille nettement moindre (à peine 60 cm de hauteur par 75 cm de diamètre sous notre climat), mais au moins on peut le réussir parfois.
Des buis vraiment rustiques Dans les années 70, la pépinière Sheridan en Ontario a expérimenté avec l’hybridation des buis les plus rustiques existants, pour faire une découverte fascinante: en croisant le buis d’Europe avec le buis de Corée, on obtenait des plants plus rustiques que l’un ou l’autre des parents! On appelle ce phénomène la «vigueur de l’hybride», ou hétérosis.
Ainsi ces nouveaux buis, qui commencent à peine à paraître sur le marché au Québec, sont rustiques sans aucune protection en zone 4b (la zone de la région de Québec) et même, là où la neige s’accumule, jusqu’en zone 2. Vous voulez en voir la preuve? Allez au Jardin Roger-Van den Hende de Sainte-Foy, où vous trouverez des Buxus Green Mound qui poussent à merveille, sans la moindre protection hivernale (à part une protection contre l’écrasement), depuis plus de 15 ans! Les « buis hybrides de Sheridan », comme on appelle maintenant ces nouveaux venus, sont toutefois des plants de taille restreinte (le plus haut ne dépasse pas 1,3 m) : il est donc difficile de les utiliser comme écran végétal.
On pourrait toutefois les employer comme minihaie pour délimiter un terrain ou une partie de terrain. Et leur taille restreinte en fait d’excellents sujets pour un parterre de broderie à la française, soit des plants taillés selon un motif d’arabesques.
Une description et une culture Les buis hybrides de Sheridan ressemblent à un buis d’Europe de taille plus limitée : leur feuillage est aussi dense et ils restent verts durant tout l’hiver. Leurs petites fleurs verdâtres sont bien cachées parmi le feuillage, on ne les remarque pas. Enfin, leur bois est flexible, mais très solide : même si l’arbuste se fait comprimer par le poids de la neige, il se relève au printemps quand la neige fond.
Le buis est naturellement une plante de sous-bois, poussant mieux à l’ombre ou à la mi-ombre. Il peut tolérer le plein soleil, mais risque alors de subir des brûlures au cours de l’hiver. Mieux vaut alors le planter à l’abri du soleil du midi et des vents d’hiver, soit sous des arbres ou du côté nord ou est de la maison.
- Sa croissance est relativement rapide : il atteint sa taille maximale en environ 7 à 10 ans.
- Tout sol bien drainé lui convient, même un sol glaiseux, mais il faut lui assurer une certaine humidité en tout temps.
- À cette fin, un bon paillis est toujours de rigueur.
- Par période de sécheresse estivale, il peut aussi falloir l’arroser à l’occasion.
Si le buis aime bien un sol riche, sans toutefois l’exiger, il faut tout de même éviter de le fertiliser trop abondamment, notamment avec un engrais riche en azote. Cela provoque une croissance plus rapide, mais sujette aux brûlures en hiver. Tous les buis hybrides de Sheridan prennent tout naturellement une belle forme dense.
Il suffit de les planter en ligne droite et de les laisser pousser pour obtenir une belle haie, bien qu’il puisse parfois être nécessaire de supprimer à l’occasion une tige égarée ou de les égaliser un peu. Pour les tailler en carré ou selon une autre forme géométrique, procédez à la fin du printemps, après l’apparition des nouvelles feuilles.
On peut tailler une deuxième ou troisième fois, au besoin, pour maintenir en permanence une apparence « coupée au couteau ». La meilleure protection hivernale est un automne bien arrosé ! En effet, tant que les tissus arrivent à l’hiver bien gorgés d’eau, il n’y aura pas de dommages hivernaux.
Nouvellement inscrite sur la liste des fermes florales du Québec, la Pivoinerie Lili de Saint-Albert, dans le Centre-du-Québec, ouvrait ses champs au public pour l’autocueillette cet été et poursuivra cette activité jusqu’à la mi-septembre. Hormis sa fleur vedette, la ferme présente plus de 15 variétés de fleurs, dont les glaïeuls, les tournesols et les dahlias. De quoi repartir après une journée en plein air avec un bouquet bien garni ! Nos étés sont plus chauds, les périodes de sécheresse, plus fréquentes et, souvent, plus longues. L’arrosage des plantes s’impose, une corvée dont on aimerait bien se passer. Si le petit potager ne peut se soustraire à un bain régulier sans compromettre une belle récolte, le jardin de fleurs est habituellement moins exigeant. Et il saura même taire sa soif si vous prenez la peine de choisir des espèces tolérantes à la sécheresse. C’est le cas d’ailleurs de nombreux végétaux utilisés par les municipalités. Bref tour d’horizon de quelques plantes réputées pour leur sobriété. Chloé Roy n’avait pas réalisé à quel point le fantasme de la fermette et de la campagne touchait beaucoup de gens. Surtout, combien son exemple d’entreprise partie de rien, bâtie par des femmes et gérée par des femmes, pouvait être inspirant. Avec Floramama, son premier ouvrage, elle souhaite faire partager un savoir accumulé en près d’une décennie de floriculture et démontrer que ce rêve fleuri est plus accessible qu’il ne le semble. On trouve des arbustes pour tous les goûts, tous les terrains, petits ou grands. Le choix est considérable. Notre collaborateur Pierre Gingras en cultive depuis des années, des spécimens aujourd’hui à pleine maturité. Il nous présente quelques-uns de ses préférés. Ni l’absence de terrain ni le manque d’espace extérieur n’empêchera les jardiniers motivés de croquer dans des légumes fraîchement sortis du sac ! Il suffit d’un balcon, d’une terrasse, d’un stationnement ou d’un bout de ruelle pour jardiner dans ces contenants bien adaptés à la vie en ville et aux petits espaces. Conseils et astuces pour réussir ses cultures en sac. Il n’y a pas très longtemps, ils inspiraient le dégoût. Aujourd’hui, la plupart sont à la mode. Le public a réalisé que les insectes pollinisateurs sont responsables d’une grande partie de ce qui se retrouve dans notre assiette et qu’une grande partie de la production agricole a absolument besoin de leur intervention. Mais bon nombre de ces invertébrés sont en déclin et exigent un coup de main. Tour d’horizon d’un petit monde ailé et quelques suggestions de plantes bienveillantes. Elsie Reford a passé plus de 30 ans à transformer une forêt d’épinettes en sanctuaire de plantes. Son arrière-petit-fils a consacré l’équivalent de sa vie à préserver cet héritage devenu une référence en horticulture. Avec un troisième ouvrage sur le sujet, Alexander Reford ouvre un autre pan de l’histoire de son aïeule et dévoile certains des plus beaux trésors des Jardins de Métis. Si la ferveur horticole de la pandémie s’est un peu estompée, le nombre de nouveaux adeptes reste important et la clientèle des centres de jardinage a rajeuni. Après le potager, des néophytes ont même commencé à s’initier aux fleurs — au grand bonheur des pépiniéristes ! Voici quelques suggestions d’annuelles qui enjoliveront votre environnement durant tout l’été. Des plantes coriaces, à entretien minimal et à la palette de couleurs impressionnante. Avec le retour du beau temps, les idées vertes bourgeonnent au Québec. À Montréal, la jeune équipe des Nouveaux Voisins cultive un art paysager à l’aide de jardins sauvages, rappelant les prairies et les sous-bois, pour le bien-être des hommes, mais aussi des autres espèces avec lesquelles ceux-ci cohabitent. Le confinement a incité nombre d’entre nous à ajouter un peu de verdure dans nos intérieurs. L’engouement pour les plantes rares, en particulier, a été tel que certains en ont fait une collectionnite aiguë et bénéfique pour la santé ! Témoignages et conseils de Guillaume Mousseau, un spécialiste passionné, et de Nadia Bérubé, qui a acquis quelque 300 végétaux depuis trois ans. Le goût d’aménager son espace extérieur croît à mesure que les jours s’allongent et que les rayons du soleil se réchauffent. Il en faut souvent peu pour lui donner un nouvel éclat. Voici cinq tendances qui se dessinent à l’approche des beaux jours. Cynthia Dulude adore le maquillage, mais également le jardinage. C’est un passe-temps qu’elle a découvert plus tard dans sa vie, mais qui y prend une place grandissante. Au point où elle vient de publier un cahier de jardinage pour les passionnés qui souhaitent s’organiser. Et elle est la première à l’utiliser ! Quels sont les problèmes le plus souvent évoqués par les amateurs de jardinage au sujet des semis intérieurs ? J’ai posé la question à des semenciers qui doivent répondre chaque année à des clients déçus par leur expérience. L’étiolement des plants et la mort prématurée des plantules sont les revers les plus courants. Conseils pour éviter des déceptions lors de vos semailles. De nombreuses plantes d’intérieur, dont les poinsettias, cactus de Noël, anthuriums et cyclamens des Fêtes, peuvent être nocives pour les jeunes enfants de même que pour minou et toutou. Une invitation à la prudence. (Ottawa) Le jardinage urbain gagne de plus en plus en popularité, notamment à cause de la hausse des prix dans les épiceries. Certains cactus volent la vedette ces temps-ci dans les jardineries avec leur étonnante floraison. D’autres pourraient bien n’attendre que quelques ornements pour vivre à leur tour leur heure de gloire durant les festivités. Et si Noël prenait un air exotique cette année ?
: Des buis pour le Québec
Comment planter une branche de buis ?
Plantation : mise en œuvre —
Procédez de préférence au cours de l’automne ; Creusez une tranchée à l’aide d’une bêche, sur 40 cm de large, à 15 cm des cultures ou de l’allée à délimiter. Aidez-vous d’un cordeau pour effectuer une ligne bien droite ou d’un tuyau d’arrosage pour dessiner une ou des courbes ; Placez les plants de buis dans la tranchée. Les racines doivent être couchées au sol tandis que le reste des plants est accolé à l’une des parois, et seule l’extrémité du plant émerge hors de la tranchée ; L’espacement entre chaque plant dépend de l’aspect final désiré ; plus la bordure est basse, plus les pieds doivent être rapprochés. Pour une bordure de buis nains de 15 cm de haut, les plants sont espacés d’environ 10 cm, tandis que pour une bordure de buis de 40 cm de haut, il faut garder une distance de 25 à 30 cm. Remplissez la tranchée avec la terre extraite, petit à petit, en tassant au fur et à mesure avec le pied ; Arrosez abondamment.
Bouture de buis Il est possible d’acheter les plants de buis en godet ; dans ce cas-là, tremper les mottes dans l’eau, une bonne heure avant la plantation. Puis les enterrer d’un tiers voire de moitié ; la partie en terre émettra des racines.
Pourquoi mon buis ne pousse pas ?
Arrosage des buis en pot : —
Le buis peut très vite manquer d’eau, vous verrez alors son feuillage jaunir et se dessécher. En cas de chaleur, n’hésitez donc pas à l’ arroser régulièrement sans toutefois en inonder les racines.