« La durée du repos est de 15 à 30 jours, et jusqu’à 2 mois en cas de rupture », précise le médecin.
Quel examen pour déchirure intercostale ?
Déchirure musculaire : quels examens d’imagerie médicale ? – L’ échographie du muscle et des tendons est l’examen indispensable : elle permet non seulement d’analyser les lésions musculaires de la déchirure (localisation, étendue, profondeur) et/ou tendineuses, mais aussi d’observer le comportement du muscle lorsqu’il se contracte.
si les lésions observées cliniquement sont mal expliquées par l’échographie ; pour l’analyse des muscles profonds ; dans le cadre d’un bilan préopératoire ; chez le sportif confirmé.
L’examen clinique, et surtout l’imagerie médicale, permettent de classer les lésions de déchirure musculaire en différentes catégories de gravité croissante :
élongation, « claquage » ou déchirure musculaire partielle, rupture musculo-tendineuse complète,
Bacquaert P. Déchirure musculaire, élongation, claquage. Site internet : IRBMS. Villeneuve d’Ascq (France) 2018 National Health service (NHS). Sprains and strains. Site internet : NHS. Londres ; 2018 Nantes–MPR (Médecine Physique et de Réadaptation). Accident musculaire. Site internet : Nantes MPR. Nantes (France) ; 2015 Christel P, De Labareyre H, Thelen P, De Lecluse P. Pathologie traumatique du muscle strié squelettique. In : Encyclopédie médico–chirurgicale. Appareil locomoteur. Paris : Elsevier Masson ; 2005.15-140-A-10 Wavreille G. Traumatisé des membres. Lésions musculaires. Orthopédie – Traumatologie ECN 2018-2020. Éditions Med-Line
: Déchirure musculaire : que faire et quel bilan ?
Comment arrêter une douleur intercostal ?
Les traitements médicamenteux – Afin de soulager les douleurs au niveau de la cage thoracique, votre médecin pourra vous diriger vers un traitement médicamenteux (antalgiques, anti-inflammatoires). Parfois, en cas de douleurs récalcitrantes, de longs traitements ou de fortes doses de médicaments peuvent être nécessaires.
Quand s’inquiéter douleur intercostale ?
Douleur intercostale : quand consulter un médecin ? – Lorsque la douleur intercostale s’accompagne de symptômes plus graves (pression thoracique ou sensation de déchirement dans la poitrine, toux persistante avec du mucus, palpitations cardiaques, difficultés respiratoires.) contactez immédiatement le 15 ou rendez-vous dans le service d’urgences le plus proche de chez vous.
Comment savoir si on a une élongation ou une déchirure ?
Qu’est-ce qu’une élongation musculaire et comment apparaît-elle ? – L’élongation musculaire est un étirement trop important de la fibre musculaire, Lorsque le muscle est sollicité trop intensivement et qu’il dépasse les limites de son élasticité, des micro-lésions internes apparaissent : c’est ce qu’on appelle l’élongation musculaire.
Où se situe la douleur intercostal ?
Quels sont les symptômes de la douleur intercostale ? – Douleur – Le principal symptôme de la névralgie intercostale d’origine mécanique est la douleur prenant origine au niveau d’une vertèbre. Elle peut soit être sous forme de point précis ou irradier le long d’une côte.
Comment soigner une entorse intercostale ?
Qu’est-ce qu’une entorse costale ? – Une entorse costale est une blessure au niveau des muscles qui entourent les côtes ou des ligaments de la région costale. Elle survient généralement après un traumatisme comme une chute sur le côté mais peut également être causée lors d’une sur-sollicitation d’un muscle ou un étirement important des tissus à la suite d’un faux mouvement de torsion du thorax.
- Des douleurs aiguës apparaissent sur le côté le long de la côte, au niveau du torse, et peuvent être localisées ou irradier jusque dans le dos.
- Le patient peut alors ressentir des difficultés à respirer mais également observer une enflure provoquée par un hématome sous la peau.
- Il est alors limité dans ses mouvements.
Avant de diagnostiquer une entorse costale, il convient de déterminer précisément le siège de la douleur et les circonstances de son apparition. Pour cela, le kinésithérapeute va procéder, lors de la consultation, à un examen par palpation qui sera complété par un bilan imagerie.
Quel médicament pour les douleurs intercostales ?
Traitement des douleurs thoraciques En dehors des situations d’urgence nécessitant une hospitalisation, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant. La douleur thoracique s’estompe grâce aux antalgiques et lors du traitement de la maladie en cause.
- cessez toute activité ;
- prenez le médicament que votre médecin vous a prescrit au cas où vous ressentiriez une douleur thoracique (dérivé nitré) ;
- restez calme et attendez. Si la douleur n’est pas soulagée au bout de cinq minutes, appelez les urgences (15 d’un téléphone fixe ou le 112 d’un téléphone mobile même bloqué ou sans crédit – appel gratuit).
- Si vous ressentez une douleur thoracique ne nécessitant pas des soins urgents, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant.
- Pour soulager votre douleur avant la consultation, vous pouvez prendre un : le paracétamol ou un anti-inflammatoire non stéroïdien ou « AINS » (ibuprofène, kétoprofène).
- Utilisez de préférence un seul type de médicament et privilégiez le paracétamol en l’absence de contre-indication (, maladie grave du foie, ).
- Les AINS ont de nombreuses contre-indications et ne doivent pas être utilisés en cas de :
Lisez bien la notice d’utilisation et respectez les contre-indications mentionnées. Par exemple, certaines douleurs thoraciques peuvent avoir des causes digestives. Si votre douleur thoracique est associée à des brûlures d’estomac ou de l’œsophage (douleurs remontant derrière le ), ne prenez pas d’ ou d’aspirine contre-indiqués dans ces cas.
De plus, la majorité des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) ne doivent pas être donnés à un enfant de moins de 15 ans et sont à administrer avec prudence chez le sujet âgé. Enfin, dans un contexte d’infection (,,,,, pneumonie, etc.), l’utilisation des AINS (et particulièrement l’ibuprofène et le kétoprofène) doit être évitée en raison de la survenue possible de complications infectieuses graves.
Dans ces cas, l’utilisation du paracétamol doit être privilégiée pour lutter contre la douleur. Pour bien utiliser un, pensez à respecter :
- la posologie (quantités prescrites ou recommandées) ;
- un intervalle de temps suffisant entre deux prises ;
- la dose maximale quotidienne.
- Le non-respect de ces règles peut entraîner des complications, notamment un risque de surdosage.
- Pour les mêmes raisons et sauf avis médical contraire, évitez d’associer ou d’alterner des antalgiques de composition différente.
- Si le traitement n’est pas rapidement efficace et que votre douleur persiste, consultez votre médecin et n’oubliez pas de lui préciser quel type de traitement vous avez pris (médicament, dose, fréquence).
Appel d’urgence européen : 112
- Collège des enseignants de cardiologie – Société française de cardiologie. Douleur thoracique aiguë et chronique. ECN 2019. Elsevier Masson. Issy-Les-Moulineaux (France)
- Staeger P, Meier F, Fishman D, Grosgurin O. La douleur thoracique. Rev Med Suisse.2013;9:997-1004
- National Health service. Chest pain. Site internet : NHS. Londres ; 2020
- National Library of Medecine. Chest pain. Site internet : MedlinePlus. Bethesda (États-Unis) ; 2022
: Traitement des douleurs thoraciques
Quelle pommade pour une déchirure musculaire ?
Le diclofenac (VoltarenSpé, Voltarène Emulgel, VoltarenActigo, Diclofenac Viatris gel, Flector gel), l’acide salicylique ou ses dérivés (Baume St-Bernard, Baume aroma, Lumbalgine, Inongan, Algesal), l’acide niflumique (Niflugel), l’ibuprofène (Ibufetum, Antarène gel, AdvilMed gel).
Quelle pommade pour une déchirure musculaire ?
L’acide niflumique (Niflugel), l’ibuprofène (Ibufetum, Antarène gel, AdvilMed gel).