Expert-comptable / Experte-comptable Synonymes : contrôleur de gestion, comptabilité, financier
- Banque – Finance – Assurance
- Gestion – Comptabilité – RH
L’ expert-comptable doit obligatoirement, pour exercer la profession, être inscrit à l’ordre des experts-comptables, après avoir prêté serment. Il est soumis à une déontologie rigoureuse.
- L’ expert-comptable a des missions variées : • Une mission d’opinion : la révision comptable, ou l’audit, consiste en un examen en vue d’exprimer une opinion motivée sur la régularité et la sincérité des comptes.
- • Des missions comptables : l’établissement des comptes des entreprises et la consolidation des comptes annuels des groupes de sociétés doivent se conformer aux recommandations très précises du Conseil de l’ordre.
- • Des missions de conseil et d’assistance : diagnostic et conseil en organisation générale, administrative et comptable, conseil et aide à la décision, conseil en matière juridique, fiscale et sociale, organisation et mise en place de systèmes informatiques spécialisés, relations avec les banques et organismes financiers
Les activités de l’expert varient selon la taille du cabinet dans lequel il officie. Dans un cabinet de petite dimension, il est polyvalent. Dans une structure plus grosse, il travaille au sein d’une équipe de juristes, informaticiens, fiscalistes. Dans ce cas, la division du travail est réelle.
- Les contacts avec la clientèle exigent des déplacements fréquents.
- Il a souvent des horaires irréguliers et peut travailler le week-end spécialement au moment des bilans et comptes annuels.
- Les experts-comptables exercent à 90 % en libéral, mais beaucoup ont débuté comme salariés.
- Le salariat offre l’avantage de permettre au débutant de confirmer sa pratique et de nouer des contacts qui faciliteront son installation ultérieure en indépendant.
L’expert-comptable salarié peut aussi, après avoir fait ses preuves, racheter des parts du cabinet qui l’emploie et devenir associé. Une autre solution consiste à travailler au service financier d’une grande entreprise. La grande majorité des experts-comptables sont aussi commissaires aux comptes.
- le DCG : diplôme de comptabilité et de gestion, de niveau licence bac + 3,
- le DSCG : diplôme supérieur de comptabilité et gestion, de niveau master bac + 5,
- le DEC : diplôme d’expertise comptable, bac + 8.
Après un stage rémunéré de 3 ans validé par une attestation, il faut passer l’examen final constitué de 3 épreuves :
- épreuve écrite portant sur la révision contractuelle et légale des comptes (résolution d’un cas pratique à en 4h 30),
- épreuve écrite sous forme de QCM portant sur la réglementation professionnelle et la déontologie,
- soutenance d’un mémoire en rapport avec l’activité d’expert-comptable ou de commissaire aux comptes.
- Le DEC permet de s’inscrire à l’Ordre des experts-comptables pour exercer à titre libéral.
- A savoir : le master CCA (comptabilité-contrôle-audit) assuré par l’université permet de rejoindre la filière de l’expertise comptable.
- Chaque niveau de diplôme donne accès à des métiers différents dans la comptabilité, la finance et la gestion,
- A noter la licence pro métiers de la comptabilité spécialité responsable de portefeuille clients d’expertise-comptable forme des collaborateurs de cabinets d’expertise comptable ou de services comptables et financiers d’entreprises de toute tailles.
Le salaire d’un expert-comptable dépend de son expérience, du lieu où il travaille, de ses missions, de ses tarifs et de son portefeuille clients. Un expert-comptable salarié débute aux-environs de 3 800 € brut mensuel. Pour un expert-comptable à son compte, le revenu brut mensuel de début, après 3 ans de stage, est de l’ordre de 5 000 €.
Il peut monter ensuite jusqu’à 9 000 €. Un jeune salarié débutant peut compter en net mensuel sur 2 500 € + primes. La principale évolution professionnelle est le passage du statut de salarié à celui de libéral. L’expert-comptable doit alors se constituer ou racheter une clientèle personnelle. L’expert-comptable peut dans les grandes entreprises devenir directeur comptable voire ou assurer les fonctions de,
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Est-ce que un expert-comptable gagne bien sa vie ?
Quel est le salaire d’un expert-comptable ? – Il est reconnu qu’un expert-comptable gagne bien sa vie. Quand il est salarié débutant dans une entreprise, l’expert-comptable reçoit environ 2 500 € net par mois sur son bulletin de paie + des primes. Il n’existe pas de grille indiciaire, car les salaires évoluent en fonction ensuite de l’ancienneté et des connaissances, de l’expérience et de la localisation du cabinet pour lequel il travaille.
- Quand l’expert-comptable travaille en indépendant, après ses trois années de stage et son DEC en poche, il gagne environ 5 000 € net par mois et peut aller jusqu’à 10 000 € par mois.
- La principale évolution de carrière que peut espérer un expert-comptable salarié est de passer du statut de salarié à celui de libéral.
Dans ce cas, il doit se constituer un portefeuille de clients ou de racheter la clientèle d’un cabinet existant. Dans une grande entreprise, un expert-comptable salarié peut devenir directeur comptable ou directeur financier et assurer également les fonctions du commissaire aux comptes.
Quel est le salaire d’un expert-comptable par an ?
Qu’est-ce qu’un expert-comptable ? – L’expert-comptable (ROME M1202) a pour mission de contrôler les éléments comptables et fiscaux de ses clients et de les conseiller sur la gestion de leur entreprise. Après avoir effectué un travail de revue des comptes, il présente une analyse de gestion qui guidera le chef d’entreprise dans sa prise de décision.
- À noter : l’expert-comptable ne certifie pas les comptes, cela étant le job du commissaire aux comptes.
- Il est possible d’occuper le poste d’expert-comptable dans plusieurs types de structures : soit en tant qu’indépendant, soit en tant que salarié en CDD ou en CDI dans un cabinet d’audit / d’expertise, ou dans un bureau en tant que cadre financier.
L’expert-comptable a deux manières de se lancer en indépendant : il peut déposer sa candidature dans un cabinet qui est à la recherche d’un nouvel associé ou décider de créer son propre cabinet. S’il exerce au sein d’un cabinet dans lequel il est associé, il peut également endosser un rôle d’encadrement d’équipe et de direction stratégique.
Le salaire d’un expert-comptable est en moyenne compris entre 35 000 et 80 000 euros bruts par an, il est de plus de 46 000€ bruts annuels pour les professionnels inscrits à l’ordre des experts-comptables. Certains parviennent à obtenir une rémunération de plus de 100 000 euros bruts par an, en justifiant d’une expérience ou de compétences spécifiques.
Dès le début de sa carrière, l’expert-comptable peut prétendre à un revenu compris entre 35 000 et 40 000 euros bruts par an. Cela lui permet d’accéder à un salaire net mensuel compris entre 2 300 et 2 700 euros. La qualité du stage effectué pendant la durée de la formation pourra permettre de prétendre à une rémunération plus proche des 40 000 euros bruts par an.
- Le salaire médian constaté pour cette profession se situe aux alentours des 60 000 euros bruts par an.
- Cela représente un salaire brut mensuel d’environ 5 000 euros.
- Le taux horaire d’un expert-comptable est variable, mais se situe souvent autour de 100 euros bruts.
- Pour les profils les plus expérimentés, le salaire brut mensuel peut s’élever à une somme comprise entre 6 500 et 8 300 euros.
Le calcul du salaire de l’expert-comptable s’effectue en prenant en compte la durée de son expérience, la complexité des missions qui lui sont confiées ainsi que de la grille salariale de la structure qui le recrute. Il peut également être amené à recevoir une prime d’ancienneté.
Travailler en tant qu’expert-comptable permet d’avoir une vision globale et stratégique de la situation financière d’une entreprise. L’expert a la possibilité de mettre à profit ses compétences pour aider au mieux un dirigeant à développer son entreprise, ce qui lui permet de donner du sens à son activité. Les experts-comptables ont généralement un bon niveau de rémunération, notamment lorsqu’ils ont acquis une expérience professionnelle significative. Il y a des offres d’emploi à destination des experts-comptables dans toute la France. Ils peuvent décider de postuler dans des cabinets situés en ville ou à la campagne selon leurs préférences. De plus, au vu de la teneur de leurs missions, ils peuvent aisément obtenir l’autorisation de leur employeur pour faire du télétravail (s’ils ne sont pas à leur compte), si ce n’est pas déjà prévu dans leur contrat. L’expert-comptable a la chance de pouvoir emmagasiner de nombreuses connaissances tout au long de sa carrière, du fait de l’évolution de la législation financière, mais également de la diversité de ses clients. En effet, il est amené à collaborer avec des entreprises issues de divers secteurs d’activité, soumises à des problématiques et des règlementations différentes.
Dès son embauche et tout au long de sa vie active, l’expert-comptable est souvent soumis à une importante charge de travail. Il faut savoir qu’un expert-comptable n’a pas le droit de prospecter. En tant qu’entrepreneur, il doit donc compter sur d’autres moyens pour développer son business et attirer de nouveaux clients.
Pour trouver un emploi en tant qu’expert-comptable et réussir sa carrière professionnelle, il est nécessaire de posséder certaines qualités et aptitudes. Il doit être rigoureux, diplomate, tout en sachant se montrer discret. Il a besoin d’avoir un bon sens du relationnel pour assurer la partie commerciale et fidéliser ses clients sur le long terme.
Quelle diplôme pour être expert-comptable ?
Le cursus L’expert-comptable est un professionnel titulaire du diplôme d’expertise comptable qu’il passe après avoir obtenu le Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion (DSCG, grade de master) et avoir effectué un stage de 3 ans en cabinet, en qualité d’expert-comptable stagiaire, inscrit au Tableau de l’ordre.
diplôme de comptabilité et de gestion (DCG) au grade licence, diplôme supérieur de comptabilité et de gestion (DSCG) au grade master, diplôme d’expertise comptable (DEC).
Ce cursus de l’expertise comptable présente plusieurs particularités remarquables :
chacun de ces diplômes est constitué d’épreuves que l’on peut préparer à son rythme le dispositif des dispenses favorise les passerelles d’un cursus à l’autre et permet d’intégrer la filière au niveau licence et master Enfin, il est possible de se lancer sur le marché de l’emploi à chacune de ces étapes
Le diplôme d’expertise comptable est un sésame pour une carrière professionnelle en France, à l’international, dans un cadre libéral ou dans les plus hautes fonctions financières d’une entreprise. Cette étape obligatoire équivalente à un véritable emploi est indispensable pour acquérir les bases de la culture professionnelle, ainsi que la maturité nécessaire pour passer avec succès les épreuves du DEC et être autonome professionnellement.
Être expert-comptable stagiaire, c’est être inscrit au tableau de l’Ordre des experts-comptables. Le stage s’effectue à plein temps, en cabinet, en France ou en Europe, mais également à certaines conditions, hors Europe ou en entreprise. L’expert-comptable stagiaire a un contrat de travail, il est salarié, collaborateur de cabinet d’expertise comptable et/ou d’audit.
A l’issue de ce stage, une attestation de fin de stage est délivrée permettant de s’inscrire aux épreuves du DEC.
Cette mise en pratique est accompagnée d’un programme de formation permettant de se préparer aux épreuves du diplôme d’expertise comptable et de la remise de 4 rapports semestriels.Le stage s’effectue sous la tutelle d’un maître de stage et contrôlé par un contrôleur de stage. Si vous êtes résident d’une collectivité d’outre-mer ou de Nouvelle-Calédonie, l’article 71a du décret 2012-432 du 30 mars 2012 vous permet d’accomplir le stage d’expertise comptable auprès d’une personne exerçant dans le territoire concerné et titulaire du diplôme d’expertise comptable français ou d’un titre ou diplôme permettant l’exercice d’une profession comparable à celle d’expert-comptable en France métropolitaine.
De même, si vous êtes ressortissant d’un Etat francophone, l’article 71a du décret 2012-432 du 30 mars 2012 vous permet d’accomplir le stage d’expertise comptable auprès d’une personne exerçant dans votre pays d’origine et titulaire du diplôme d’expertise comptable français ou d’un titre ou diplôme permettant l’exercice d’une profession comparable à celle d’expert-comptable en France métropolitaine.
La liste des pays francophones a été fixée dans un arrêté du 8 mars 2010 : Algérie, Bénin, Burkina Faso, Burundi, Cambodge, Cameroun, Canada, Centrafrique, Comores, Côte d’Ivoire, Djibouti, Gabon, Guinée, Laos, Haïti, Liban, Madagascar, Mali, Maroc, Maurice, Mauritanie, Monaco, Niger, République démocratique du Congo, Rwanda, Sénégal, Suisse, Tchad, Togo, Tunisie, Vietnam.
Dans tous les cas, pour s’inscrire en stage, il faut être titulaire du DESCF ou du DSCG. Sont toutefois autorisés à accomplir les deux premières années de stage, les titulaires d’au moins 4 UE (unité d’enseignement) sur les 7 obligatoires du DSCG, que ces UE aient été obtenues par examen, dispense ou report de notes, à charge pour l’expert-comptable stagiaire d’obtenir les UE manquantes au cours de ces deux premières années.
au cours du stage, en qualité d’expert-comptable stagiaire inscrit au tableau et en tant que salarié de droit commun au sein d’un cabinet, auprès des instituts régionaux de formation (IRF) rattachés aux Conseils régionaux de l’Ordre des experts-comptables, pour les journées de formation obligatoires.
EXAMEN : deux sessions par an en mai et en novembre. Plus d’informations sur, Le cursus français est conforme aux normes internationales d ‘éducation d e l’IFAC, mais également au référentiel du PAEE ( Professional Account ancy Education Europe, anciennement dénommé Content Project Project (CCP) qui a pour but de développer et de promouvoir un référentiel de formation de haute qualité au niveau européen, pour la formation des experts-comptables et des auditeurs. : Le cursus
Quel bac pour devenir expert-comptable ?
Pour devenir expert-comptable ou commissaire aux comptes, il est plutôt conseillé de faire un bac général (spécialités mathématiques ou sciences économiques et sociales, par exemple) ou un bac technologique STMG (sciences et technologies du management et de la gestion).
Qui paye l’expert-comptable ?
Les honoraires de l’expert-comptable assistant le comité d’entreprise « Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement ». Cet adage bien connu prend tout son sens en matière de fixation des honoraires de l’expert-comptable et rappelle une fois de plus l’importance de la lettre de mission.
- En effet, si l’expert-comptable, choisi par le comité d’entreprise, convient des honoraires afférents à sa mission et signe un contrat de mission avec ce dernier, il est en revanche rémunéré directement par l’entreprise au sein de laquelle la mission sera menée.
- La liberté de choix de la rémunération par le comité d’entreprise
- Ainsi, le comité d’entreprise n’a pas à solliciter l’accord préalable du payeur sur la quantum des honoraires de l’expert-comptable, ces derniers étant librement et directement négociés entre le comité d’entreprise et l’expert-comptable.
- Dès lors, le comité d’entreprise engage l’entreprise sur le montant d’honoraires qui n’est souvent qu’estimatif et qui ne sera déterminé qu’a posteriori, au vu du travail effectué dans le cadre de la mission confiée.
- Compte tenu des risques de contestation, d’autant plus concernant une mission qui n’est pas toujours appréciée par le dirigeant, la lettre de mission doit être la plus précise possible, et prévoir a minima :
- l’identité de l’expert-comptable en charge de la mission ;
- la nature et l’étendue des investigations jugées nécessaires ;
- le déroulement des travaux ;
- les diligences nécessaires (réunions préparatoires, examen des pièces, rédaction du rapport, déplacements) ;
- la montant des honoraires (sur la base d’un temps passe prévisionnel, et du rappel du tarif horaire des intervenants) ;
- le frais et débours.
- Les termes de la lettre de mission, conclue entre l’expert-comptable et le comité d’entreprise, s’imposent à l’employeur, qui ne dispose que du seul droit de vérifier si le travail effectué correspond au prix demandé, et donc aux diligences prévues dans la lettre de mission.
- La mission achevé, il est donc utiles de joindre à la facture un détail de la facturation et du temps passé.
- L’exigibilité des honoraires
- Si le Code du travail rend uniquement l’entreprise débitrice d’une obligation de règlement des honoraires sans prévoir de sanctions spécifiques, la jurisprudence a posé des garde-fous supplémentaires, en reconnaissant de manière constante le délit d’entrave au fonctionnement du comité d’entreprise en cas de refus de paiement ou même en cas de paiement volontairement tardif.
- Le délit d’entrave ne sera toutefois pas reconnu si le (mauvais) payeur se borne à contester les honoraires, tout en versant les honoraires contestés à titre provisionnel.
- Le contrôle du juge
- En cas de contestation du montant des honoraires par l’entreprise, il est recommandé de saisir pour arbitrage le président du Conseil régional de l’Ordre des Experts-Comptables.
Si d’aventure cette phase amiable n’aboutissait pas, le litige devra être tranché par le président du TGI – Tribunal de Grande Instance -, à qui est reconnu le pouvoir de réduire le montant des honoraires de l’expert-comptable. En pratique, le TGI se bornera en premier lieu à vérifier si l’expertise est à la charge de l’entreprise ou au contraire, si elle ne relève pas des missions spécifiquement visées par le Code du travail, à la charge du comité d’entreprise.
Où travaille un expert-comptable ?
VARIABILITÉ DES ACTIVITÉS – Il/elle exerce en profession libérale, en cabinet, en nom propre ou sous forme de société, sur des activités d’expertise, d’audit et/ou de conseil. Il/elle peut également rejoindre une entreprise, à une fonction comptable, financière ou de gestion.
À taille humaine, en grande majorité, le cabinet est souvent spécialisé dans une activité comptable précise. Connaître le tissu local est un plus, comme fidéliser la relation clients (TPE PME : artisans, commerçants, professions libérales). Les collaborateurs débutants sont rapidement responsabilisés sur des missions formatrices. Les cabinets de taille moyenne (2-3 associés ou futurs, 20 à 30 collaborateurs) sont soit généralistes, soit spécialisés par portefeuille (métiers). L’audit représente un niveau relativement faible du chiffre d’affaires. Les sociétés d’audit et de conseil les plus importantes sont représentées par des groupes internationaux (5 000 à 10 000 collaborateurs en France) qui se partagent les activités à forte valeur ajoutée d’audit légal et contractuel, conseil, formation. Organisées en pôles (expertise comptable, audit, fiscal, juridique, social), elles disposent d’équipes pluriculturelles. L’autonomie des collaborateurs débutants est relativement réduite.
Quel est le prix d’un comptable par mois ?
Tarif d’un comptable pour un commerce : entre 750 et 1 200€ par mois – Dans le domaine de la négoce, pour les mêmes prestations que dans l’exemple ci-dessus, avec une centaine de factures par mois, ce sera plutôt un tarif annuel d’environ 9 000 € HT en province contre 14 000 € HT en région parisienne.
Quelle est la différence entre un comptable et un expert-comptable ?
Les différences entre un comptable et un expert-comptable – Les différences entre le comptable et l’expert-comptable ne sont pas si importantes que l’on pourrait le croire. Elles reposent principalement sur trois points. Il s’agit en premier lieu de l’ expérience et de l’étendue des compétences,
Un expert-comptable est mieux formé qu’un comptable et dispose d’une expérience professionnelle d’au moins trois ans à l’issue de sa formation. La seconde différence est relative aux honoraires de ces deux professionnels. Il est en effet bien plus onéreux de faire appel à un expert-comptable. Cette différence est néanmoins normale au vu du surplus de compétences qu’il apporte à l’entreprise.
Enfin, l’expert-comptable et le comptable n’ont pas les mêmes attributions, L’expert-comptable est le seul à pouvoir attester des comptes annuels d’une entreprise. De même, en cas de contrôle fiscal, faire appel à un expert-comptable vous offre une assurance responsabilité civile.
Quel est le travail d’un expert-comptable ?
Rôle de l’expert comptable A la demande du chef d’entreprise, l’expert-comptable intervient notamment dans les domaines suivants : – Comptabilité : ouverture, organisation, tenue, surveillance, consolidation,, de la comptabilité de l’entreprise, élaboration des budgets annuels, etc.
- Gestion : analyse de la situation et du fonctionnement de l’entreprise sous ses aspects économique, juridique et financier, formation, conseil de l’entreprise en cas de difficultés, évaluation de l’entreprise en cas de cession, etc.
- Obligations légales de l’entreprise : établissement des bulletins de paie et des déclarations sociales, consultations juridiques, conseil en matière sociale.
Précision : ces 2 dernières prestations ne peuvent être exercées qu’ à titre accessoire et proposées aux entreprises dans lesquelles l’expert-comptable assure des missions d’ordre comptable de façon permanente ou habituelle, ou dans la mesure où elles sont directement liées aux travaux comptables dont il est chargé par l’entreprise.
– Informatisation de l’entreprise : conseil dans la mise en place de systèmes informatiques, etc. – Audit de l’entreprise : il concerne les entreprises qui ne sont pas obligées de recourir à un commissaire aux comptes mais qui, compte tenu de leur taille, ont besoin d’un niveau de garantie et de fiabilité équivalent. – Mission de tiers de confiance : cette mission lui permet de recevoir de ses clients les pièces justificatives des charges correspondant aux avantages fiscaux (réductions, déductions ou crédits d’impôt) et de les transmettre, le cas échéant, à l’administration fiscale sur sa demande. A noter : l’expert-comptable engage sa responsabilité par la signature qu’il appose sur ses travaux, dans le cadre et dans les limites de la lettre de mission le liant contractuellement à son client.
Pour l’exercice de cette mission, le tiers de confiance conclut : – un contrat de mission avec son client qui l’autorise notamment à procéder à la télétransmission de sa déclaration annuelle d’impôt sur le revenu et de ses annexes, – une convention individuelle avec l’administration (directeur de la direction départementale ou régionale des finances publiques) pour une période de trois ans renouvelable par tacite reconduction.
Quel est le salaire d’un RH ?
Quel salaire et combien gagne un Chargé des ressources humaines ? – Le salaire moyen d’un chargé de ressources humaines est généralement compris entre 2 500 et 3 000 euros par mois. Cela permettra au professionnel de gagner un salaire net mensuel compris entre 1 950 et de 2 300 euros, pour un taux horaire brut compris entre 16 et 20 euros.
- Lorsqu’il signe son premier contrat de travail, le chargé de ressources humaines peut prétendre à un salaire compris entre 2 000 et 2 300 euros bruts par mois.
- Ce revenu, en principe en dessous duquel les entreprises ne descendent pas, correspond à un salaire net mensuel compris entre 1 560 et 1 800 euros.
Le professionnel peut négocier sa rémunération en fonction du diplôme obtenu ou des stages effectués en entreprise pendant la durée de la formation. Un chargé de ressources humaines qui peut justifier de plus de 10 années d’expérience pourra, quant à lui, gagner plus de 3 200 euros bruts mensuels.
Il percevra alors plus de 2 500 euros nets par mois, pour un salaire brut annuel de plus de 39 00 euros. Pour prétendre à des rémunérations plus attractives, il faudra souvent accepter des postes de responsable. En effet, plus les missions sont complexes, plus le salaire sera élevé. De plus, la rémunération de ce type de professionnel des ressources humaines peut être versée sur 12, 13 ou 14 mois.
Dans certains cas, elle sera assortie d’une prime d’intéressement et d’une prime de participation. Ce genre de variable peut considérablement valoriser le revenu annuel perçu par le salarié.
Quel BTS pour devenir comptable ?
Devenir comptable avec un BTS comptabilité gestion – Le BTS comptabilité gestion (CG) est un diplôme d’Etat de niveau bac +2 qui a remplacé le BTS comptabilité et gestion des organisations (CGO). Tout candidat l’ayant obtenu peut prétendre, après avoir exercé les fonctions d’ assistant comptable pendant quelques temps, au poste de comptable.
Qu’est-ce qu’un bac +8 ?
Licence (bac + 3), master (bac + 5) et doctorat (bac + 8) : ces trois grades de l’enseignement supérieur correspondent à des paliers de formation européens. Dans ce cadre, chaque année d’études donne lieu à des crédits (ECTS) validant des matières ou des stages.
Quel master pour devenir expert-comptable ?
Des dispenses d’épreuves selon la formation choisie – Les formations ou classes préparatoires à ces examens sont multiples et restent le choix de l’étudiant. Elles sont proposées par des écoles publiques (les instituts nationaux des techniques économiques et comptables) ou des écoles privées.
Certains cursus permettent également de passer les diplômes des métiers de la comptabilité, et offrent même des dispenses à certaines épreuves. Il s’agit des BTS CGO (comptabilité et gestion des organisations) ou du DUT GEA (gestion des entreprises et des administrations) option finance comptabilité.
Les Masters CGA (notre master Comptabilité Conseil & Audit) qui préparent en 2 ans au diplôme DSCG sont accessibles aux étudiants titulaires d’une Licence Universitaire (droit, mathématiques, sciences économiques, etc).
Est-ce que c’est difficile de devenir expert-comptable ?
Quelles sont les compétences développées pendant vos études qui vous servent au quotidien dans votre travail ? – Durant mes études j’ai développé de nombreuses compétences qui me servent encore aujourd’hui dans mon travail, La première que j’ai développée est la rigueur,
- Les études d’expertise comptable ne sont pas difficiles en soi mais nécessitent un sérieux et une constance dans le travail,
- Il ne s’agit pas d’un sprint mais plutôt d’un marathon, où seuls les plus endurants terminent la course.
- Mes études m’ont également appris à être organisée,
- Avec le nombre élevé de matières, une organisation est nécessaire pour pouvoir être à jour de tous les devoirs, cours à préparer, examens.
Maintenant en poste, j’anticipe et prépare les missions afin d’être le plus efficace possible une fois chez les clients. Ce sont là deux compétences qui me servent donc aujourd’hui dans mon travail. Quant à la transition entre les études et le travail, elle s’est plutôt faite en douceur,
Est-ce que la comptabilité est difficile ?
Comment réussir le DCG ? – Publié dans la catégorie Diplôme de comptabilité et de gestion (DCG) le 4 avril 2019 Le diplôme de comptabilité et de gestion (DCG) est plutôt difficile à obtenir tant le programme est riche et complet. Le taux de réussite à l’examen, très faible, avoisine les 40 %. Pour réussir son DCG, il faut, bien évidemment, avoir un niveau scolaire suffisant mais également faire preuve de bon sens.
Est-ce que tout le monde peut être comptable ?
6. Il y a un potentiel entrepreneurial – Le rêve d’être son propre patron est bel et bien présent dans la profession comptable. Si vous avez un peu cet esprit d’entreprise, créer un cabinet comptable pourrait être un excellent moyen de progresser dans votre carrière.
Quels sont les débouchés d’un expert-comptable ?
Les diplômés peuvent ainsi devenir comptable en entreprise, gestionnaire de paie, contrôleur de gestion junior ou assistant d’un cabinet d’expertise ou d’audit.